Bulletin SAF 2007
Table des matières
TABLE DES MATIERES
(année 2007)
Pages 6 à 7
Notices d´archéologie finistérienne (année 2007)
(année 2007)
Pages 11 à 36
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
BODILIS, Milin ar C’hastel
Michel Le Goffic
Pages 11 à 13
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
BRASPARTS, Castel-Du
Michel Le Goffic et Jean-Yves Éveillard
Pages 13 à 14
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
CLÉDER, Kersaudy
Michel Le Goffic
Page 15
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
CLÉDER, La Tourelle
Michel Le Goffic
Page 15
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
CROZON, Lostmarc’h
Patrick Galliou
Pages 15 à 17
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
DOUARNENEZ, plage du Ris
Josick Peuziat
Pages 17 à 21
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
GOUÉZEC, Pennaguer
Michel Le Goffic
Pages 21 à 22
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
LANNILIS, rue Jules-Ferry
Michel Le Goffic
Pages 22 à 23
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
MORLAIX, place des Jacobins
Ronan Pérennec
Page 23
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
PLOGONNEC, Landibilic
Michel Le Goffic
Page 23
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
PLONÉOUR-LANVERN, Keraden
Michel Le Goffic
Pages 24 à 25
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
PLOUGASNOU, embouchure de la
Donan (plage de Plougasnou-Saint-Jeandu-
Doigt)
Michel Le Goffic
Pages 25 à 26
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
PLOUHINEC, Drégan
Michel Le Goffic
Pages 27 à 30
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
PONT-L’ABBÉ, contournement sud :
projet routier entre RD 785 et RD2
Ronan Pérennec
Pages 30 à 33
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
QUIMPERLÉ, Environs
Patrick Galliou
Pages 33 à 34
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
SAINT-RIVOAL, Roquinac’h
Michel Le Goffic
Page 34
NOTICES D’ARCHÉOLOGIE
FINISTÉRIENNE (ANNÉE 2007).
SANTEC, Théven
Michel Le Goffic
Pages 35 à 36
Catalogue des monnaies gauloises
du Musée départemental breton,
Quimper (Finistère)
Philippe Abollivier
Pages 37 à 58
Mise au point sur les enceintes et les cairns
du Menez-Hom (Finistère)
Jean Mornand
Pages 59 à 63
+
Résumé
Le Menez-Hom est formé de cinq sommets dont deux sont très fréquentés par les touristes.
Les textes anciens concernant l’archéologie pré- ou protohistorique ont fait l’objet de nombreuses
confusions. L’auteur, après avoir analysé les sources d’erreurs, fait le point sur les sites majeurs,
enceintes et cairns, dans l’espoir futur d’une étude précise des vestiges encore observables.
+
Résumé en breton - Diverradur
Ar Menez-C’homm ez a pemp kern d’ober anezañ, diw anezo gwall zarempredet gant an
douristed. Ar skridoù kozh o tennañ d’an arkeologiezh-ragistor, pe – kentañ – istor e kaver enno
traou mesket e-leizh. Amañ, divesket gantañ ar perag eus ar mankoù, e laka ar skrivagner peb
tra en e res, ewid pezh a sell an takadoù pennañ, ar c’hlosadurioù, ar c’harnoù, esper gantañ
ouzhpenn e teuio diwezatoc’h ur studiadenn rik eus an aspadennoù a c’heller, ewid c’hoazh,
peurselled outo.
+
Résumé en anglais - Abstract
The Menez-Hom is a group of five hills, two of which are much frequented by tourists. There
is much confusion in early studies dealing with the Prehistory of this area. In the following study,
aiming at a future comprehensive survey of monuments still visible above ground, the sources of
various errors are reviewed and major sites – cairns and earthworks – examined.
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007)
(année 2007)
Pages 67 à 94
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007).
CAMARET
Batteries de Kerbonn
Louis Chauris
Pages 67 à 69
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007).
CHÂTEAUNEUF-DU-FAOU
Viaduc sur la ligne Carhaix-Châteaulin
Louis Chauris
Pages 69 à 72
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007).
LANNILIS
Le reliquaire de sainte Illuminée et ses « authentiques
», 1703
Yves-Pascal Castel et Annick Caraës
Pages 72 à 75
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007).
LE TRÉVOUX
église Saint-Pierre-et-Saint-Paul
Guy Leclerc
Pages 76 à 78
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007).
PLOUGUERNEAU
Iliz Koz
Louis Chauris
Pages 78 à 83
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007).
PONT-CROIX
Église Notre-Dame de Roscudon
Guy Leclerc
Pages 83 à 86
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007).
ROSCOFF
Église Notre-Dame de Croas-Batz
Dany Guillou-Beuzit
Pages 86 à 88
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007).
SCAËR
Édifices religieux
Louis Chauris
Pages 88 à 92
Monuments et objets d´art du Finistère
études, découvertes, restaurations
(année 2007).
TRÉMEL (Côtes-d’Armor)
Église Notre-Dame
Christian Millet
Pages 92 à 93
Musée départemental breton.
Une année d’enrichissement des collections
(2007)
Philippe Le Stum
Pages 95 à 107
Des carrières… un lazaret…
L’île Trébéron en rade de Brest
Louis Chauris et Lionel Duigou
Pages 109 à 114
+
Résumé
La double histoire de l’île de Trébéron, site de carrières insulaires et établissement d’un imposant
lazaret, se lit encore dans un environnement exceptionnel en voie de dégradation avancée.
+
Résumé en breton - Diverradur
Bez’e c’heller c’hoazh « lenn » istor enes Treberon, dezañ daou bennad : ul lec’h mengleuzioù-
enes, ha diasezadenn ur c’hlañvdi na va ket dister ; bras eo an diskar eno, ha kaer koulskoude
an endro.
+
Résumé en anglais - Abstract
The double history of Trébéron Island, being both the site of extensive quarries and of an
important quarantine station may still be read in an environment, which, though exceptional, is
rapidly decaying.
L’île Tristan à Douarnenez
Examen pétrographique du bâti
Louis Chauris et Josick Peuziat
Pages 115 à 123
+
Résumé
En sus de la trondhjémite locale et des micaschistes proximaux, l’île Tristan a fait aussi appel
pour ses nombreuses constructions à des pierres plus lointaines : leucogranite de Locronan, kersanton
de la rade de Brest, granite de Lanhélin… Elle fournit par ailleurs un nouvel exemple de
carrières insulaires bretonnes acheminant leur production par mer.
+
Résumé en breton - Diverradur
Estreget trondhjemit hag ar vein-sklent skinteg a gaver war ar plas o-deus talvezet da zevel
tiez ha batisou war an enez Trestan. Mein all a zo bet deuet euz a-belloh : leukogreunvein
Lokorn, kersanton morlenn Vrest, meingreun Lanhelen... E-se e weler eur wech muioh treuzkas
dre vor mein euz enezeier Breiz.
+
Résumé en anglais - Abstract
In the many buildings standing on Ile Tristan, local trondhjemite and proximal micaschists
have been used, together with more distant stones, such as leucogranite from Locronan, kersanton
from the vicinity of the rade de Brest and granite from Lanhélin... The island also gives yet
another example of insular quarries exporting their stones by sea.
L’église paroissiale de Plouguerneau
et son enclos. Des pierres et des hommes
Louis Chauris
Pages 125 à 132
+
Résumé
L’examen pétrographique de l’église de Plouguerneau et de son enclos offre un cas exemplaire
du bâti religieux en pays de Léon. Les maîtres d’oeuvre ont fait largement appel aux matériaux
locaux (les divers granites), tout en leur adjoignant des matériaux plus lointains, plus aptes
au façonnement (le kersanton de la rade de Brest) que le sous-sol proximal ne pouvait procurer.
Et cette dualité s’est si bien intégrée dans les ouvrages qu’elle semble aujourd’hui, au premier
abord, naturelle.
+
Résumé en breton - Diverradur
Pa vez sellet pizh ouzh ar vein aet da ober ilis Plougerne hag he c’hlos-parres, e weler ez
eus ase ur skwer eus ar sevel-ti relijiel e Bro Leon. Graet o deus ar vistri-oberourien un implij
a-vras eus mein ar c’hornad-bro (ar seizh seurt maen-greun), en ur implijoud ouzhpenn mein eus
pelloc’hig bro, aessoc’h da stummañ (Kersanton lenn-vor Vrest), na va ket anezañ er c’hondon
tost. Ken braw eo en em gavet assambles an daou seurt maen-se ma seblantont, hiwiz an deiz,
bezañ naturel, da weled.
+
Résumé en anglais - Abstract
A perfect example of religious building in Léon may be seen in the detailed study of the stones
used for the church and the enclos at Plouguerneau. The builders largely used local materials
(various types of granite), together with more distant and more adaptable stones, not available
locally (such as kersanton, from the vicinity of the rade de Brest). Both are so aptly integrated
into the stonework that their combination appears entirely natural.
Les stalles de la cathédrale de Saint-Polde-
Léon : un édifice au choeur de l’édifice
Florence Piat
Pages 133 à 153
+
Résumé
Les soixante-six stalles conservées dans la cathédrale de Saint-Pol-de-Léon constituent un
des ensembles les plus remarquables et les mieux conservés de Bretagne. Réalisés en deux étapes,
ces stalles sont datées du début du XVIe siècle par la présence des blasons de deux évêques.
Trois artistes, au moins, ont travaillé sur cet ensemble. Deux d’entre eux se sont principalement
occupés des rangs du côté nord, alors qu’un seul huchier semble être à l’origine de la majorité
des stalles sud. Cette observation renforce l’idée d’une réalisation en deux temps, le côté sud
apparaissant plus ancien que le côté nord. Les thèmes iconographiques développés sur ces sièges
sont extrêmement variés, abordant les sujets de la vie quotidienne, du bestiaire, des feuillages,
dans le style du gothique international. L’utilisation de modèles par les sculpteurs est avérée pour
plusieurs sculptures figurant sur les miséricordes. Cet ensemble s’inscrit totalement dans la production
des stalles à la fin du Moyen Âge occidental.
+
Résumé en breton - Diverradur
An deg ha tri-ugent a gadorioù-klos miret e ilis-vamm Kastell-Paol ez eus anezo unan eus
an dastumadoù ar gwellañ kisellet hag ar gwellañ miret a zo e Breizh. E daou vare int bet graet,
e penn kentañ ar XVIed kantved, diouzh ma weler diwar armorioù daou eskob eus an amzer-se.
Ar renkennad-se ez eus bet tri arzour, d’an nebeutañ, o labourad warni. Gaet daou anezo ez eo
bet graet al labour war ar c’hadorioù-klos eus tu an nort, ar re a zo er su avad n’eus bet, ‘m eus
aon, nemed ur c’hiseller oc’h aosañ ar peb brassañ anezo. Lies-seurt eo temoù ar skultadurioù
kisellet war ar c’hadorioù-se ; tennañ a reont d’ar vuhez-pemdez, d’al loened, d’an delioù, en ur
ober gant stil goteg etrevroadel an amzer-se. Dremmoù tud anavezet a weler, anad, skultet war
meur a hini eus ar miserikordioù. Klotañ a ra ar renkennad-se a grenn gant an doare ma vese
graet ar c’hadoriou-klos e fin ar Grennamzer e kuzh-heol an Europ.
+
Résumé en anglais - Abstract
The sixty-six choir-stalls located in the cathedral of Saint-Pol-de-Léon are one of the most
remarkable and well-preserved in Britanny. They have very probably been created in two steps
at the beginning of the XVIth century. The dating of these choir-stalls is based on the two bishop’s
coats of arms carvings which are found on two dorsal-panels. Three carvers, at least, worked
on these choir-stalls. Two of them especially worked on the north rows. The last one made the
majority of the southern stalls. This observation strengthens the idea that the building took place
within two periods, south rows being probably older than the north ones. The gothic iconography
is very rich, concerning the bestiary, the everyday-day life or representing leaves and other
plants according to an international gothic style. The carvers used models-books as it is prooved
from some misericords. These choir-stalls fit exactly into the western european late medieval
woodcarving production.
Généalogie des vicomtes de Léon
(XIe, XIIe et XIIIe siècles)
Patrick Kernévez et André-Yves Bourgès
Pages 157 à 188
+
Résumé
Au XIe siècle, on recense plusieurs lignages vicomtaux héritiers d’un honor carolingien en
Bretagne. L’un d’eux contrôle le Léon, à l’extrémité nord-ouest de la péninsule. Cette maison des
vicomtes de Léon attestée dès les années 1050 avec Guyomarch Ier, connaît son apogée au milieu
du XIIe siècle avec Hervé II qui s’arroge le titre comtal. Soumis par les Plantagenêts, le lignage
des vicomtes de Léon est acculé à la ruine par les ducs de la maison de Dreux, au XIIIe siècle. On
peut retracer, même sommairement, les destinées de la dizaine de représentants de ce lignage
entre le XIe et le XIIIe siècle en complétant l’examen des sources annalistiques et diplomatiques
par l’étude des textes hagiographiques et littéraires.
+
Résumé en breton - Diverradur
En XIed kantved, e kaver war ar rolloù meur a rummad – beskonted o tont diwar un honor
karlovingad e Breizh. Unan anezo ema dindannañ Bro Leon, e penn pellañ gwalarn al ledenes.
Anavezet eo an tiegezh-se a veskonted Leon adal ar bloawezhioù 1050 gant Guiomarc’h I, an
tiegezh-se o vezañ e barr e vrud e hanter an XIIed kantved gant Herve II, kemeret gant hemañ al
lesano a gont. Roet ez eus lamm d’ar rummad-hont gant re ar Plantagenêt, ha diskaret a-grenn
gant duked tiegezh Dreux, en xiiied kantved. Bez e c’heller, ha pa vefe diwar c’horre, taolenniñ
buhez an deg bennag a veskonted eus ar rummad-se etre an XIed hag an XIIIed kantved, en ur vont
pelloc’h eged ar pezh a gaver an annaloù hag er skridoù diplomateg, dre studiañ ar buhezioù-sent
hag ar skridoù lennegel.
+
Résumé en anglais - Abstract
In the 11th century, several viscountal lineages existed in Brittany, where they derived from
a Carolingian honor. One of them controlled Léon, at the northwestern end of the Breton peninsula.
The house of the viscounts of Léon, appearing as early as 1050 (Guyomarch I) had its acme
in the middle of the 12th century, when Hervé II assumed the right to the earldom. Brought into
subjection by the Plantagenets, the lineage of the viscounts of Léon was driven to ruin by the
dukes of the House of Dreux, in the 13th century. A survey of annalistic and diplomatic sources,
together with that of hagiographic and literary documents, allows the career of about ten members
of this lineage to be reconstructed, even summarily, between the 11th and the 13th century.
Les seigneurs de Quimerc’h
des origines au début du XVIe siècle
Marie-Élisabeth Le Bris
Pages 189 à 206
+
Résumé
Les seigneurs de Quimerc’h établissent leur fief patrimonial entre Quimperlé et Bannalec
dès le IXe siècle. Différentes sources permettent d’étudier cette famille : le cartulaire de l’abbaye
Sainte-Croix de Quimperlé, les réformations des feux de 1426, la montre de 1481, les aveux et
déclarations du domaine et seigneurie de Quimerc’h. Les publications de dom Lobineau et dom
Morice font apparaître les seigneurs de Quimerc’h dans une cinquantaine d’actes. Les armoiries
de la famille sont peintes sur l’enluminure du manuscrit du 17 juin 1534 concernant Pierre de
Tinténiac, époux de Françoise de Quimerc’h, héritière de la seigneurie. Les armoiries sont également
présentes sur les vitraux et les sculptures de plusieurs chapelles de Bannalec, Scaër, Mellac,
Le Faouët, ainsi que dans la cathédrale de Quimper.
Si les origines des Quimerc’h restent obscures, la famille émerge au XIVe siècle, quand vers
1350, Alix de Quimerc’h épouse Jean du Hautbois dont le petit-fils René prend le nom et les
armes des Quimerc’h au début du XVe siècle. En juillet 1420, René est parmi les seigneurs qui
délivrent Jean V prisonnier des Penthièvre ; il reçoit le titre de chambellan et son fief est érigé en
baronnie. Au service du duc, par leurs actions militaires et politiques, par leurs alliances également,
les héritiers, Charles Ier, puis Charles II acquièrent puissance et notoriété. Cette ascension
sociale concerne également la branche cadette qui prend le nom de Trésiguidy. À la fin du XVe
siècle, les seigneurs de Quimerc’h font partie de l’élite de la noblesse cornouaillaise.
+
Résumé en breton - Diverradur
Staliañ ‘ra aotrouien Kimerc’h dalc’h o gwlad etre Kemperle ha Banaleg adal an XIed
kantved. Diwar meur a skrid e c’heller studiañ ar familh-se : kartuler abati Ar-Groas-Santel
Kemperle, adkempenn an tiegezhioù 1426, gweladeg 1481, disklêriadurioù gwasoniezh domani
hag aotrouniezh Kimerc’h. E kement o deus skrivet dom Lobineau ha dom Morice, e vez graet
meneg eus aotrouien Kimerc’h e-barzh un hanterkant bennag a aktoù. Liwet eo bet armorioù
ar familh war enliwadur dornskrid ar 17 a vis Even 1534, o tennañ da Bêr a d-Tinténiac, pried
da Frañsesa a Gimerc’h, pennheres an aotrouniezh. Bez’ema c’hoazh an armorioù war gwer
liwet ha war skultadurioù meur a chapel eus Banaleg, Skaer, Mellag, Ar Faoued, hag e-barzh
ilis-vamm Kemper.
Ma ne weler ket gwall sklaer ewid perzh a sell orinoù re ar C’himerc’h, er XIVed kantved
avad e teu ar familh war wel, war-dro ar bloawezh 1350, da geñver eured Aliss a Gimerc’h gant
Yann du Hautbois : kemer a ra René, mab-bihan ar re-mañ, ano hag armorioù re ar C’himerc’h
adal penn kentañ ar XVed kantved. E mis Gouere 1420, ema René etre an aotrouien deuet da
zilivrañ an duk Yann V dalc’het gant re ar Penteür : roet eo dezañ neuse ar garg a gambrellan,
ha lakaet e c’hwlad da vezañ baronelezh. Leal d’an duk hag ouzh e servijañ, e teu an heritourien,
Charles I, ha da c’houde Charles II, galloud ha brud dezo, a drugarez d’o zaolioù kàer a vresel
hag a bolitikerezh, a drugarez iwe d’o eureujoù. An tu-se da bignad beteg renk ar pennoù uhellar
a gaver iwe, gant re ar skourr eil-henañ, a gemer an ano a d-Trésiguidy. War fin ar xved kantved,
ema aotrouien Kimerc’h e-toues ar vegenn eus noblañsoù Kernew.
+
Résumé en anglais - Abstract
The lords of Quimerc’h established their patrimonial fief between Quimperlé and Bannalec
as early as the 9th century. Different sources provide information on this family : the cartulary of
the Sainte-Croix abbey at Quimperlé, the 1426 reformation of feux, the 1481 muster, the aveux
et déclarations of the domain and lordship at Quimerc’h. In the works of dom Lobineau and dom
Maurice, the lords of Quimerc’h appear in about fifty documents. The arms of the family appear
on the manuscript dated 17 June 1534 concerning Pierre of Tinténiac, husband of Françoise de
Quimerc’h, the heiress to the lordship. Their arms also appear, carved in stone or on stained
glass windows, in several chapels (Bannalec, Scaër, Mellac, Le Faouët) and in the Quimper
cathedral.
If the origins of the Quimerc’h are still obscure, the family emerges from obscurity in the
14th century, when, about 1350, Alix of Quimerc’h married Jean du Hautbois, whose great-son
René took the name and the arms of the Quimerc’h at the beginning of the 15th century. In July
1420, René was among the people who freed Jean V, then a prisoner of the Penthièvre. He was
then appointed chamberlain and his fief elevated to the rank of barony. His heirs, Charles I and
later Charles II, acquired power and notoriety thanks to their military and political action in the
service of the duke. This social elevation also concerned the younger branch of the family, who
called themselves Trésiguidy. At the end of the 15th century, the lords of Quimerc’h were part of
the higher ranks of the nobility of Cornouailles.
Christophe de Cheffontaines (1532-1594)
À propos de quelques phrases en breton
dans une correspondance de la fin du XVIe siècle
Jean-Luc Deuffic (avec la collaboration de Gwennole Le Menn)
Pages 207 à 223
+
Résumé
Un dossier de correspondances inédit de la Bibliothèque franciscaine provinciale des capucins
de Paris (ms. 1819) nous donne l’occasion d´aborder la production littéraire et l’action oratoire
du Breton Christophe de Cheffontaines (1532-1594), nommé général de son ordre en 1571.
L’édition d´une lettre datée de 1594, adressée à son neveu, Laurent de Cheffontaines, seigneur de
Villeneuve, demeurant alors au collège parisien de Tréguier, et comportant plusieurs passages en
breton, montre tout l´intérêt philologique de ce dossier.
+
Résumé en breton - Diverradur
Bez’ez eus e levraoueg-rannvro kabussined Paris (ds. 1819) un dosser lizheroù diembann, o
tennañ d’ur Breizhad, Kristoc’h a Cheffontaines (1532-1594) e ano, bet lakaet da jeneral e urzh e
1571. Peadra da deuler ur sell was oberou a lennegezh hag a brezegerezh an den-se. En ul lizher
skrivet gantañ e 1594, d’e nizh Laurañs a Cheffontaines, aotrou a Villeneuve hag o studiañ en
amzer-se e skolaj parisian Landreger, e kaver meur e rannbennad e brezhoneg, ar pezh a ziskonez
talvoudegez bras an dosser-se war dachenn ar filologiezh.
+
Résumé en anglais - Abstract
A file containing unpublished correspondence preserved in the provincial Franciscan library
of the Paris Capucins (ms. 1819) offers us the opportunity of dealing with the literary production
and oratory production of Christophe de Cheffontaines (1532-1594), a Breton appointed General
Officer of his order in 1571. An original letter dated 1594 and adressed to his nephew Laurent de
Cheffontaines, lord of Villeneuve, then residing in the Paris-located Tréguier College, has several
passages written in Breton and is fair evidence to the philological value of this dossier.
Documents judiciaires d’avril 1793
concernant la famille Barbier
de Ploudalmézeau
Jean-Louis Autret
Pages 225 à 230
Louis Julien de Roujoux (1753-1829)
Paul Jarry
Pages 231 à 244
+
Résumé
Louis Julien de Roujoux, sieur de Buxeuil, baron d’Empire, naît en 1753 à Landerneau où
son père était receveur des fermes du roi. Reçu avocat au parlement de Bretagne, il exerce à
Landerneau et est élu échevin en 1780. Il représente la ville aux états de Bretagne qui se tiennent
à Rennes à la fin de 1780. Maire de 1781 à 1783, il quitte Landerneau pour Paris où il est attaché
à la Compagnie des Indes. Revenu à Landerneau au début de la Révolution, il est nommé par le
roi son commissaire auprès du tribunal de district, avant de se lancer alors dans la politique : il
est élu député du Finistère à l’Assemblée législative (octobre 1791- septembre 1792). À son retour,
il est élu accusateur public près du tribunal criminel de Quimper. Il le reste jusqu’en avril 1798,
avec deux périodes d’absence : de juin à août 1793 où il préside à Caen de l’Assemblée centrale
de résistance à l’oppression des départements réunis et tente, en vain, de s’opposer militairement
à la Convention montagnarde ; d’octobre 1793 à décembre 1794, mis hors la loi, il se cache chez
Chappuis, à Pouldergat. Vingt-six administrateurs du Finistère ont été guillotinés à Brest pour
le même motif de fédéralisme. Membre du Conseil des Anciens (1798), puis du Tribunat (1799),
il est nommé préfet de Saône-et-Loire (1802), et est fait baron (1810). Il est promu officier de
la Légion d’honneur. En disgrâce lors de la première Restauration, il est nommé lors des Cent-
Jours préfet du Pas-de-Calais, puis d’Eure-et-Loir, avant de quitter la vie publique en juillet 1815,
et de se consacrer à la peinture et aux travaux littéraires. Il décède à Brest en 1829.
+
Résumé en breton - Diverradur
Loeis Juluan a Roujoux, aotrou a Buxeuil, baron a Impalaerezh, ganet e Landerne e 1753, a
oa e dad tailhanter feurmoù ar roue. Degemeret evel alvokad e parlamant Breizh, e pleustr war
vicher e Landerne, m’ema eno iwe esel eus kusul an ti-kêr e 1780. Kannad e gêr eo e breujoù
Breizh dalc’het e Roazon e fin ar bloawezh-se. Maer Landerne eo eus 1781 da 1783, ma kuita
neuse e gêr ewid mont da Baris, evel kargad e Kompagnunezh an Indes. A-boan kroget an dispac’h,
e teu en-dro da Landerne, anvet komisser ar roue e-tal les-varn ar bastell-vro. Neuse eo
e kemer, perzh er politik, dilennet evel kannad Penn-ar-bed e Bodad-al-Lesennoù (Here 1791-
Gwengolo 1792). Deuet en-dro d’ar vro, ez eo dilennet tamaller-ar-bobl e-tal les-varn-an-torfejou
e Kemper. Chom a ra er garg-se beteg mis Ebrel 1798. Dre ziw wech ez a kuit eus ar vro : eus mis
Even da vis Eost 1793, ema e Caen, ma’z eo eno e penn ar Bodad-kreiz oc’h enebiñ ouzh gwaskerezh
an departamantoù bodet ; klask a ra, en aner, talañ gant soudarded ouzh Konvension-ar-
Venezidi ; lakaet e-maes-al-lesenn, ez a da guzhad e Pouldregad, e ti Chappuis. Dibennet ez eus
bet 26 a velestrourien eus Penn-ar-bed ewid ar memes abeg federalegezh. Esel eus Kusul ar Re
Gozh (1798), hag eus al Les-Varn (1799), ez eo anvet prefed ar Saône-et-Loire e 1802, ha graet
baron e 1810. Anvet eo ofisser eus al Lejion a Enor. Pa zeu ar c’hentañ Adsav, e kouez e dougc’hrass,
med da vare ar C’hant-Dewezh, ez eo anvet prefed ar Pas-de-Calais, ha da c’houde eus
an Eure-et-Loir. E mis Gouere 1815, e lavar kenavo d’ar c’hargoù a Stad, hag en em lak d’ober
war-dro al liwerezh hag an oberoù a lennegezh. Mont a ra da Anaon e Brest e 1829.
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Résumé en anglais - Abstract
Louis Julien de Roujoux, squire of Buxeuil, elevated to the rank of baron by Napoleon I, was
born in 1753 in Landerneau, where his father was the receiver of the taxes farmed out by the
king. Having qualified as a barrister at the Parlement de Bretagne, he practised in Landerneau,
where he was elected alderman in 1780. He was a representative of the town in the états de
Bretagne held in Rennes at the end of 1780. After having been elected mayor of Landerneau
(1781-1783), he left the town for Paris, where he became attached to the Compagnie des Indes.
Returning to Landerneau at the outset of the Revolution, he was appointed representative of the
king at the local tribunal, before lauching into politics. He was elected representative of Finistère
at the Legislative Assembly (October 1791-September 1792). On his return to Landerneau, he
was elected Public Prosecutor at the Quimper criminal tribunal and practised until April 1798,
though being absent twice, once to preside over the central assembly of départements resisting
the oppression of the central government (Caen, June-August 1793) where he tried, in vain,
to build up military resistance against the Montagnarde Convention ; then, from October 1793
to December 1794, when, being outlawed, he took refuge with the Chappuis, at Pouldergat.
Twenty-six administrators of Finistère were guillotined in Brest for the same crime of federalism.
A member of the Conseil des Anciens (1798) and of the Tribunat (1799), he was appointed préfet
of Saône-et-Loire (1802) and made a baron (1810). He was then made an officier of the Légion
d’honneur. He fell out of favour during the first Restauration but was appointed préfet of the Pasde-
Calais and then of Eure-et-Loir during the Cent Jours, before leaving politics in July 1815 and
devoting his energy to painting and literary works. He died in Brest in 1829.
Culture et sociabilité ouvrières
à Quimper à la fin du XIXe siècle
Lucie Guirriec
Pages 245 à 265
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Résumé
Marqués par un niveau de vie en progrès lent mais réel à la fin du XIXe siècle, période où
la ville connaît une impulsion industrielle et urbanistique remarquable, les ouvriers de Quimper
aspirent à de nouveaux besoins culturels passant par l’instruction et l’accès aux loisirs. Si la révolution
scolaire inaugurée dans les années 1880 par Ferry fait reculer à un taux négligeable l’illettrisme
ouvrier inquiétant du milieu du siècle, l’école se heurte toujours à une résistance ouvrière
farouche qui se traduit par un absentéisme chronique et un arrêt précoce de la fréquentation
scolaire. Outre une instruction défaillante, les moeurs ouvrières parfois dépravées sont, plus que
des stigmates d’une identité ouvrière, les révélateurs d’une véritable carence culturelle. Ainsi
l’absence de véritables loisirs pendant les rares moments de temps libre se manifeste par une
sociabilité greffée sur la fréquentation habituelle du cabaret et de spectacles populaires triviaux.
L’abus d’alcool y est trop souvent un vecteur de convivialité dévoyée et de violence débridée qui
s’exprime tant dans le cadre social que familial et va parfois jusqu’à faciliter un geste ultime de
désespoir.
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Résumé en breton - Diverradur
War fin an XIXed kantved, ez a war wellaad tamm-ha-tamm buhez pemdezieg micherourien
Gemper, dre ma kresk an industrioù ha dre ma’z a war-raog ar sevel-ti e kêr. Diwar se a teu
c’hoant d’ar vicherourien kaoud muioc’h a zeskadurezh hag a ebatoù newez. Gant lesennoù
Ferry ar bloawezhioù 1880, ne vez ket gwelet kouskoude niver an dud dizesk o kilañ, nemed un
disterrañ : derc’hel a raer mort heb kass ar vugale d’ar skol, hag ar re a vez kasset ne vezont
leset da bakañ deskadurezh nemed nebeud amzer. En tu all da se, ez eo diroll a-walc’h a-wechoù
buhezegezh ar vicherourien, n’eo ket kement-se dre ma’z int micherourien, med dre ma’z eo
dister meurbed o c’hoant da vagañ o spered. Evel-se, p’o devez un tammig amzer vad ha distaget
diouzh o labour kaled, n’ouzont nemed mont da voessoniñ en ostalirioù, pe kaoud plijadur gant
ur c’hoariva-pobl mezhus. Plijadur o devez oc’h en em gavoud assambles, o lonkañ boesson heb
musul, hag e tenont buan diwar se, da vezañ tàer, etrezo ha gant o familh, hag ez eont a-wechoù,
a heriennoù, beteg en em zistruj.
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Résumé en anglais - Abstract
At the end of the 19th century, a time when the town underwent a remarkable industrial and
urbanistic expansion, the workers of Quimper aspired after new cultural possibilities, including
education and an acess to leisure. If the revolution in education initiated by Jules Ferry in the
1880s reduced illiteracy – the rate of which was still alarmingly high in the mid-century – to a
minimum, the schooling of children was strongly opposed by the working class as is revealed by
large scale absenteeism and an early school-leaving age. More than working-class stigmata, a
minimal education and ways of living sometimes verging on depravity are symptoms of a widespread
absence of culture. The lack of any real opportunities for leisure in the few moments of
free time given to workers is expressed by the widespread patronizing of pubs and low quality
shows. An excessive consumption of alchohol often went with an uncontrolled behaviour and
unfettered violence which, displayed within the family and society at large, sometimes led to a
final act of despair.
Chronique des archives
et des bibliothèques du Finistère
(année 2007)
Yann Celton (coord.)
Pages 269 à 276
Chronique des archives
et des bibliothèques du Finistère
(année 2007).
BREST
Archives municipales et communautaires
Les Archives municipales et communautaires de Brest
Pages 269 à 270
Chronique des archives
et des bibliothèques du Finistère
(année 2007).
LANDERNEAU
Service du patrimoine historique
Marie-Pierre Cariou
Pages 270 à 272
Chronique des archives
et des bibliothèques du Finistère
(année 2007).
QUIMPER
Archives municipales
Bruno Le Gall
Pages 272 à 274
Chronique des archives
et des bibliothèques du Finistère
(année 2007).
QUIMPER
Archives de l’évêché
Yann Celton
Pages 274 à 275
Chronique des archives
et des bibliothèques du Finistère
(année 2007).
ROSCOFF
Archives communales
Nathalie Calvez
Pages 275 à 276
Comptes rendus bibliographiques
(année 2007)
Pages 277 à 283
Comptes rendus bibliographiques.
Yves-Pascal Castel, Catherine Puget.
Tremalo, la chapelle du Christ jaune. Les
Amis du musée de Pont-Aven.
(année 2007)
Page 277
Comptes rendus bibliographiques.
Hyacinthe Le Carguet (1847-1924). Un
passeur de mémoire en Cap-Sizun. Présenté par
Paul Cornec, Éditions du Cap-Sizun
(année 2007)
Pages 277 à 279
Comptes rendus bibliographiques.
Yvan Maligorne. L’Architecture romaine
dans l’ouest de la Gaule, Rennes, PUR.
Cécilia Courbot-Dewerdt
Pages 279 à 283
Procès-verbaux des séances et des excursions (année 2007)
Bulletin CXXXVI
Pages 287 à 310
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ET SÉANCE DU 20 JANVIER 2007.
Quimper. Louis Corentin Marie du Couédic de
Kergoaler (1810-1898)par M. Alain Pennec.
Présidence de M. Patrick Galliou, président
Pages 287 à 289
SÉANCE DU 24 FÉVRIER 2007.
Brest. L’ostréiculture en baie de Morlaix par M. Olivier Levasseur.
Présidence de M. Patrick Galliou, président
Pages 289 à 290
SÉANCE DU 24 MARS 2007.
Carhaix. L’Armorique dans le monde celtique par M. Patrick Galliou.
Présidence de M. Patrick Galliou, président
Pages 290 à 292
SÉANCE DU 28 AVRIL 2007.
Quimper. Les traditions de mai en Bretagne par M. Fanch Postic.
Présidence de M. Fañch Postic
Pages 292 à 294
EXCURSION DU 24 juin 2007.
Tonquédec-Guingamp
Claude Berger, Mme Simone Toulet
Pages 294 à 297
EXCURSION DU 23 AOÛT 2007.
Plougasnou-Lanmeur
M. Christian Millet avec le concours de MM. Patrick Galliou et Jean- François Joly
Pages 298 à 302
EXCURSION DU 7 OCTOBRE 2006.
Autour de Gouézec.
sous la direction de Josick Peuziat et Guy Leclerc
Pages 298 à 302
SÉANCE DU 24 NOVEMBRE 2007.
Brest. La carte archéologique du Finistère par M. Patrick Galliou.
Présidence de M. Patrick Galliou, président
Pages 308 à 309
SÉANCE DU 15 DÉCEMBRE 2007.
Landerneau.Louis Julien de Roujoux par M. Paul Jarry.
Présidence de M. Philippe de Kermadec, trésorier
Pages 309 à 310
Nécrologies: Jean Tanguy (1930-2008)
Jean Kerhervé
Pages 311 à 314
TABLE DES ILLUSTRATIONS
(année 2007)
Pages 315 à 318