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Société Archéologique du Finistère - SAF 1937 tome 64 - Pages 50 à 64
Les
de Lannoulouarn et de Kerégan
EN PLOUGUIN (FINISTÈRE)
1. LES TOMBES DE LANNOULOUARN
Situation topographique, Le grand menhir de Lan-
noulollarn est établi sur la crête qui domine l'an se de
l'Abert-Benoit située entre le Grand Moulin el. la chapelle de
Locmajan, A vi ngt-cinq mètres de ce menhir et vers le
snd -ouest, se trouve un angle du champ dit « Parc-ar
Menhir-Braz » cadastré sous le n° 37, section C, Locmajan,
feu ille 1 " , C'est dans ce champ qu'ont été découvertes la
plupart des tombes qui forment celte nécropole (1).
Circonstances de la découverte. Des dalles apparaissant
à fleur de sol et gênant considérablement la culture, le
fermier, d'accord avec son propriétaire, résolut de dérocher
celte parcelle, Il mina un premier rocher, qui émergeait plu s
que les autres, puis il entama les autres qui ne dépassaient
pas le niveau du sol. C'est alors qu'il s'aperçut que sous ces
dalles il existait d'autres pierres disposées en maçonnerie.
Ce fermier était au couran t de J'existence dans la région de
semblables fosses à parois maçonnées. Il en avait vu à
Kerégan, où j 'en avais identifié trois en '935, Averti
par lui, je me rendis aussitôt sur les lieux, où il m'attendait.
(i) Appartient à M me et M. Jean Carol, ingénieur agl'ollollJe à Plou
rlalmézeau, qui ont bien voulu m'atitoriserà publier ce travail, ce 'dont
Deux des fosses avaient été vidées de leur contenu de terre
éboulée un peu au-delà de la couche intéressante, dont il
restait cependant des fragments par endroits. J'ai pu ainsi
étudier assez complètement la stru cture de ces t ombes et me
faire une id ée assez exacte SUl' leur mobilier. Le lendemain
une troisième tombe fut ou verte.
A ces troi s sépultures s'en ajoutent d'autres , deux autres
ail moins décollvertes et démolies , l'une l'an passé ( 1935),
J'autre il y a deux ans (1934) el situées J'une à l'extrémité
sud. l'autl'e à l' ex trémité n ord de ce même champ. Enfin, il y
a environ vingt-cinq ans, un fermier du voisinage a vu
découvrir une sixième tombe, qui se trouvait dans le talu s
sud de « Parc-ar-Menhir-Braz ». L'avenir nous apprendra si
comme je le crois fermement - il en ex iste d'autres .
Cette nécropole vient ajouter un peu d'importance à
J'ensemble préhistorique de Lannolliollarn-Kerégan, où j'ai
déjà trouvé plu sieurs choses intéressantes publiées en partie
seulement.
. Description des tombes. Les trois tombes qui font
l'objet de ce petit travail sont d'un type particulier qui me
semble à l'heure actuell e encore rare sinon inédit; leurs
grandes parois latérales sont voûtées, ce qui donne à leu l'
coupe transversale-verticale le même dessin qu'aurait celle
d'une barrique placée debout et coupée verticalement par le
milieu.
Cette disposition, manifestement intentionnelle puisque
répétée, a été donnée à ces sépultures par leurs construc
teurs pour luller contre la pression des terres. Je ne
retrouve dans mes documents aucune tombe de ce style;
seulec elle qui a été décrite dans Le Finistère préhistorique,
(p. !n5) par le-commandant Bénard, sous le nom de tombe de
Plourin, serait un peu analogue dans sa coupe verticale, la
louarn, puisCjlle, contrairement à ce qui existe chez ces der
nières. les grands côtés n 'en sont pas parallèles.
Je possède des documents assez complets - qui m'ont été
très aimabl em ent o fferts par Zachnrie Le Houzic sur les
tombes du Morbihan; mai s je n'y trouve rien d e semblable
ni m êm e d'approchant . si ce n'est un coITre qlle le savant
conserva teu r du musée préhistorique de Carnac a tro uv é à
Mané-[,erioned et qui a dep uis été détruit.
J e ne puis indiquer ici la morphologie des tombes ouvertes
dnns (d'arc-ar·Menhir-Braz » avant 1936, car je n'ai pas à leur
sujet de renseign ements snffisants . J e ne m'attard erai d onc
qu'à décrire celles qui ont été mi ses à joUI" dans ce champ
an début de décembre 1936,
Les, schéma s que j'ai intercalés dan s ce texte suffiront à
cha cun pour se faire un e idée de la disposition de ces
sépnltures l'une par rapport à l'autre.
Tombe n° 1
. La dalle qui recouvrait cette tombe mesurait approxima
tivemenl 2 )11 50 > :lm X om60, Elle a été r éduite en petits
blocs par la dynamite. Elle était en roche granitique à gros
cette dalle recouvrait une fosse à ouverture
gral ns
rectan gulaire ayant 0 )11 96 d e large et l m
5 de long, sa
profondeur mesure lm 25 dans toute sa longueur à l'exception
des 25 ou 30 derniers centimètres à l'extrémité ouest où
l'aire. fai sa nt une sorte de marche se trOllve 20 centimèlres
plu s bas .
CetLe aire présenle une largeur de 0"'90 sur toute sa
longu eur qui est de 2"' 18.
Les deux « pignons» de cette chambre sépulcrale sont donc
obliques en dehors par rapport à la verticale abai~sée de
chacun des petits côtés de l'ou\'erture cie la fosse sur l'aire .
CeLte aire: est recouverte sur toute sa surface d'une couche
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à des cendres noires et parsemée de parcelles informes d'une
poterie mal cuile et imprégnée d'humidité la rendant Lrès
friable. A l'extrémité est, tout contre les moellons du pignon
se trouve une traînée grisâtre tirant légèrement sur le vert.
Un prélévement de cette traînée a été analysé par M. Allanic,
pharmacien à Brest, qui, contrairement à ce que j'ayais
supposé, n'y a trouvé aucune trace de cuivre. Mon impression
a vait été, en effet, en découvrant cette traînée, d'être en
présence des résidus d'une arme en bronze.
A l'extrémité ouest, dans la zone surbaissée, se trouve,
à l'angle sud, un amas plus considérable de cendres et à
l'angle nord une tache sensiblement circulaire, avec un
diamètre de 12 à 15 centimètres, de cette même sublance
grise li ue celle de la traînée qui existe à l'extrémité est de la
tombe. Je regrette de n'avoir pas fail analyser cette terre
grise, que je croyais être le résidu d'un autre petit dépôt
d'armes de bronze.
Les « pignons» de la chambre sép'ulcrale, obliques ainsi
que je l'ai dit précédemment, sont constituées dans leurs
deux tiers inf~rieurs par des moellons analogues à ceux des
parois; ils ont été refoulés par endroits vers l'intérieur par
la pression des terres. Le tiers supérieUl' est constitué par
une dalle posée de champ.
Quant a.ux deux grands côtés, ils sont en moellons
disposés en maçonnerie voûtée en dehors, les rangées les
plus écartées de ces deux voûtes sont à 1 m 351'une de l'autre.
L'orientation du grand axe de la fosse est assez sensible
ment est-ouest.
Tombe n° 2
Elle présente exactement la même disposition que la
précédente. Je ne puis toutefois pas certifier qu'elle pos
sédait la marche surbaissée qui existe à la partie ouest de la
tombe n° l, le fond de la tombe n° 2 ayant été bouleversé
.11 , 1.$ _
PL:I/l
csr
avant mon arrivée par le fermi er à la recherche du tradition
nel mai s chimérique trésor.
A l'extrémité sud d e l'aire de celte fosse existe la même
traînée gris-vert constatée dans la tom be n° [ un peu obliqu e
par rapport au petit côté co rrespond ant de l'aire. .
Dimension s de l'aire: om 95 X l in 84. Dimensions d e l'ou
verture supérieul e sons la dalle: om 75 .. >( l '" 75. Dimen sio ns
de la dalle: 2 ru 20 X 1 m 80 X 0 m 55.
Les pignons sont obliques, cO ll1m e dans la fosse précédente,
avec également des moello ns dans les d eux ti ers inférieurs
et une dalle posée de champ dans le ti ers supérienr. Les
grands côtés sont voûtés avec un éca rt maximum de 1 Inn .
Sur l'aire il y avait un lit d e sa ble dè grève, des cendres et
des débris de poterie mal cuite et imprégnée d'hqmidité.
L'orien tation du grand axe de celle tombe est assel: exac
tement est-onest comme celui d e la première.
Tombe n ° 3
Ce qui frapp e à première vue, c'es t la divergence, assez
réduite il est \ rai , et sans doute non intentionnelle, d e
l'orientatioI1 dù grand axe de celte tombe avec celle du g rand
axe d es deux autres.
L'angle form é par ces deux directi on s axiales est d'environ
10 deg rés el ouvert vers le nord es t. Les dimen sion s de
cette tombe sont réduites ; raire mesure om 55 X l " 26 .
L'ouverture sous la dalle est d e 0'" 45 X 1 m 20. La dalle à
l on 75 X 1 m 15 X 0
111
45 environ. L'architecture générale de
meure absolument la même : grandes parois voûtées avec
écart maximum des voû tes entre elles d e 0" 65. Même dis
position et même technique d ans l'édification d es pignons.
Aire uniformémen t pla te, sa n s marche, recouverle de sable
'de grève. Très peu d e cend res. Pas de traînée g rise, ni de
morceaux de po te ri e.
forme avec elle un ensemble fort intéressant. L'a ngle sud de
l'extrémité ouest de la petite tombe est à 2 mètres de I"angle
nord de l'extrémité oues t de la tombe n e 2 . L'an gle sud de
l'extrémité est de la tombe n° 3 et à 2
30 de l'angle nord de
l'extrémité est de la tombe n° 2 (dimensions prises à partir
des orifices des tombes sous les dalles) .
Considérations et. conclusions
On se trouve dans « Parc-ar-~enhir-Braz}) en présence de
tombes maçon nées d'un type spécial; c'est là leur grand
intérêt. Ces tombes, qu e l'on devait démolir, se trouvent,
con formément à mes ind ications, recou verL es de terre car
il fall ait cultiver le champ mais elles sont fa cilemellL
retrouvables eL méritent d'être reco nstituées dans un mu sée
préhisL oriq ne.
A quelle époque peut-on les faire remonter ~ La pauvreté
de leur mobilier ne nous permet pas d'en tirer ce rensei
gnement. Il faut nO lI s ad resser au voisinage. Il s'agit là de
tombes à ill cinéra tion tro uvées à proxim ité d'un g rand
menhir Laill é ; les g rancl meub irs ta ill és sont de l'époqu e du
bl'OlIze, et peu vent appar tenir a ux qnatre périodes de cette
époque. Ces sépu ltnres sont donc de l'époque du bronze.
C'est tou t ce qn'on peut d ire actuellement. D'autres précisions
viend ront peul-être plu s lard quand on trouvera d'autres
tombes .
A l'appui de celle hypothèse je peux produire une
masselotte en bronze recueillie par le fermier il y a peu de
temps à quelques mètres des tombes . Celte petite trouvaille
permet de penser qu'il y a eu dan s ce même champ un
atelier de fondeur. L'avenir nous perm ettra peut-être de
/; !II!!/I 1I!/1, .
JL: IV
0 .O,"S' 0
t.ombe:
II. - LES TOMBES DE KERÉGAN
Ces tombes, a u nombres de trois, séparées les unes d es
autres par de petits terre- plein s d'un mètre, ont été
déco u vertes en juillet 1935 pa r le p ropri étaire de la ferme de
Kerégan à un e cinquanlaiu e de mètres , et en direction
nord· est -- du bâtiment principal de celte ferm e.
A ca use du L emps continu ellement pluvi eux du moment et
cle la nécessité pour les fermiers de déblaye r rapidement ce
terrain , les fou ill es de ces tombes ont dû êlrc sommaires.
Leur mobilier était d'ailleurs exlrêmement pauvre puisque
nons n' y avo ns trou vé qu e qnelqu es traces de cendres
et de po terie mal cuite et infiltrée d 'humi dilé, et un tout peLit
éclat de silex qui po u va it fort bien ne pas appartenir a u
mobilier proprement dit de ces tombes .
Néanmoin s leur proximité de l'ensembl e préhi storique de
Lann oulouarn ain si q ue leur structure, - différente il est
vra i des tombes étudiées plu s h aut et qui permet de les faire
remonler à la fin de la période· néolitbique, assez tardive
sans doute daus cette région , permettent de supposer
q u'il y a eu continuité d'existence entre les peuplades qui les
ont éd ifiées et celles qui. un peu plu s tard , ont établi da ns
« Parc-a r-·Menhir-Braz II cette nécropole dont quelques élé ments ont été décrits à l'article précéden t.
Toute la zone occupée par la ferme de Kerégan est
inléressante et nombreuses so nt les trouva illes qu e le fermier
ya déj à faites avec les qu elques rudiments de préhistoire qu e
je lui ai inculqués . Ces o bj ets dont on peut voir un
certain nombre dans les vitrines du mu sée préhistorique de
Penmarch - ont été presqu e tous trouvés en surface, ce qui
leur enlève évidemment loute valeur de chronologie.
ves tiges de celle même période qui
de l'édifi ca tion de l'a li g nement de
a eu son apogee
Lannoulouarn et
lors
des
n ombreux tumuli que l'o n voit dissémin és I1n peu partout
alentol1l' : Lallveu l' , Cas tel-Oul'oup, Larivanan, Pen-ar-Valy,
l( erozal, ou un pel1 plus loin au lien dit de Kerc' hru g uellou
(le lieu des « Cruguel » 0 11 tumuli). Près de ce dernier
village on peut voir en core uu magnifiqu e tumulus, fouillé
d 'a illeurs, et de nombrellses tombes. dont les dall es de recou
vrement sont au ras du sol et dont l'une, ouverte en 1935,
m'a permis d'avoir un e lame de poignard eo bronze, qui se
tl'Ol1ve Rcluellement au musée déparlemental de Quimper.
De l'un des tumuli d e Larivanan fouill és en 188 2 par
Paul du Chatellier, a été extrait ce fam eux vase à quatre anses
qui fait en quelque sorte date el qui du musée de
J(ernllz est passé au musée de Saint-Germain-en-Laye. J'ajoute
que cet auteur a fouillé dans ce coin de territoire de la
commune de Plouguin au moin s 21 ou 22 tumuli, qui, à part
ce vase. n'ont fourni que ce que j 'ai moi-même trouvé 'dans
les tombes de « Parc-ar-M enhir-Braz », des cendres et des
débris de poterie.
J 'ai, par ce LLe digression, un p eu abandonné mon sujet..
Mai s c'est seulement dan s le but d'exprimer que cette
commune de Plouguin est certainement l'une des plu s riches
en notre territoire finistérien peut·être la plus riche en
vestiges de l'époque de bronze . Peut-être les régions plus
cô tières celles qui existaient entre les îlots demeurés au
long de notre cô te armoricaine rongées depuis par la
m er, etaient-elles aussi riches ou même plu s riches. Cela
es t très possible, si l'on considère par exemple ce petit
espace occupé par l'île Melon où l'on retrouve des vestiges
de nombreux dolmens., allées couvertes, alignement de
menhirs. En réalité nou s ne le sa uron s jamais .
Description des tombes de Kerégan
li suffit de décrire l'une pour conn aître la s Lru cture des
trois ; seul es leurs dilll ensio lJ s différenl. La L ombe a mesure
o m 70 en so n point le plus large pour l on 20 de longueur,
elle a un mètre de profondeur. La tombe b a chaque
dimension réduite, par rapport à la première, de quelques
centimè Lres ; quunt à la tombe c, elle a des dimensions
corres pond ant chacuuea ux deux Liers environ (les dimensions
correspond antes de la tombe a. La tombe a est séparée de la
tombe b par un terre-pl ein de un m ètre, et la tombe c de la
L ombe b par un autre terre- pl ein d e un mètre. Ces trois
sépultures sonL orientées de Îaçon id entiqu e avec leur grand
axe dirigé es t-ouest.
Leur en semble forme un angle droit donL la fosse a ferait
le cô té sud, la fau sse b le somm et de l'an gle et la f08se c
le cô L é oues t. Chaque sépulture comporte un appareil de
maçonnerie en pi erres sèches, s'élevant SUl ' 0 III 60 environ
et allant de l'orifice sous la dalle jusqu'à 30 ou 40 cenLi
mètres du fond qui est creusé, sans modification, dans le
sol. Chacnn e de ces L ombes es t ferm ée à son extrémité es t
par une dalle posée de cham p et ca lée extérieurement pa r
quelgnes grosses pierres .
A J'intérieur et sur l'aire un e gra nde pi erre plate qui en
recou vre la partie moyenn e. Sous cette pi erre plate un trou
en cupule creusé d ans le sol ayant 20 à 25 centimètres de
di amètre et 7 à 8 centimètres de profondeur.
Partout ailleurs J'aire est reco uverte de sable fin de grève
eL parsemée de Lraînées de cendres avec quelques débri s
d f\ bois calcin é et de petits fra gments de poterie friable. Dan s
la cupule placée so us la pierre plate on n'a absolument rien
trouvé.
Parmi la terre extraite de ces trois fosses j'ai trouvé des dé bris osseux si petits qu'on ne saurait dire si c'est à un h omme
ou à des animaux qu'ils ont appartenu et qui n'ont pas dO
apparLenir aux individus pour lesquels ont été creusées
ces fosses, eL un très petit olllii en silex, qui paraît être un
éclat de retouche, mais qui a dô lui-même être IlLilisé, à en
iuger par le détail de son pourtour.
Le sol de ce territoire est sahleux, donc poreux . Il est facile
-d'en déduir-e que les objets placés dans ces diverses tombes
ont été, au cours des quelques trente Oll trente-cinq siècles
qui nous ~éparent dcleur édificlltion, rongés et dissous par
les eaux d'infilLration_
L. L'HOSTIS,
DEUXIÈME PARTIE
Table des mémoires publiés en 1937
PAGES
1. L'Instruction sous l'Ancien Régime dans les limi-
les du Finistère actuel (suite), par 1. OGÈs .. 3
II. Les Bretons et la taille à Paris sous Philippe Le
Bel, par R. COUFFON. , . . . . . . . . ., 45
III. Les nécropoles préhistoriques de Lannoulouarn
et de Kerégan en Plouguin, par 1. L'HoSTls.. 50
IV. L'élection des députés du Finistère à la Convention
nationale, procès-verbal de l'assemblée élec-
torale, publié par J. SAVINA .
V. Le clergé régulier dans le Finistère en 1790,
D. BERNARD. . . .
QUIMPER - IMPRIMERIE Mme BARGAIN
par