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Bulletin SAF 1927


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Dolmen de Brunec (îles Glénans)

Marthe et Saint-Just Péquart

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Société Archéologique du Finistère - SAF 1927 tome 54 - Pages 73 à 83
DOLMEN DE BRUNEC
(ILES GLÉNANS)

Le 3 août 1926, nos travaux à Guilvinec étant terminés,
nous préparâmes, sans plus tarder; notre expédition a u x Glé­
nans. MM. Lecorre nous ayant accordé gracieusemen t l'autori­
sation de séjourner et de fouiller dans les îles leur appartenant,
il fut décidé que nous irions nous y installer pendant deux à
trois semaines, temps minimum, à notre avis, pour faire
quelques observations sérieuses.
Ayant donc réuni tout le matériel et les objets nécessaires
à un campement prolongé, tentes, ustensiles de cuisine et
vivres, nous prîmes la mer le 9 août pour aborder. trois heures
plus tard à l'île St Nicolas, où, d'après les utiles conseils de
MM. Lecorre, nous devions trouver plus de facililés à nous
ravitailler.
Celte île nous procura, du reste, un campement idéal, au fond
d'une profonde dénivellation en forme de cirque qui consti­
tuait un abri naturel contre les vents. L'installation fut rapi­
dement faite et le 10 août nous étions en mesure de commencer
nos investigations.
Le but de notre expédition aux Glénans était, avant tout,

d'aller reconnaître les nombreux vestiges mégalithiques

signalés autrefois par Du Chatellier, le Ct Devoir, etc, et plus
récemmen t par MM. Bénard, Favret, Boisselier et Th. Monod
en 1921 dans le tome XLVIII du Bulletin de la Société archéo-
logique du Finistère. .
. Sauf l'île de Penfret, que nous n'avons pas eu le temps

tard , nou s avon s pris pied sur toutes les autres îles de
l'a l'chi pel.
Les résultats de nos observations sont les suivants.
ILE AUX MOUTONS. Il n'y a pas de menhir à l'île aux
Mou tons. Le bloc signalé comme tel est une roche naturelle
dont la base a été détachée de son soubassement par les effets
de l'érosion. No us sommes sur ce point parfaitement d 'accord
avec le C' Devoir, qu e sa longue connaissance des monuments
mégalithiques a gardé de confondre une" pierre branlante "
avec un menhi r. La " gouttière" sur laquelle repose le pseudo­ menhir n'a pas été creusée de main d'homme, mais résulte. du
mê me phénomène d'érosion qui , en élargissant chaque j our
davantage la fi ssure, permet l'oscillation du bloc sous la pous­
sée, oscillation dont l'amplitude ne fera que s'accroître sous
l'influ ence persistante du même phénomène, jusqu'au jour où
le monolithe s'abattra sur le sol.
Toutes les .pierres branlantes procèdent de la même cause
naturelle. Il ne faut pas oublier qu 'un menhir n'a droit à ce
nom que s'il se révèle intentionnellement dressé, ce dont on pst
certain lorsqu'on peut retrouver à sa base les pierres de calage
destin ées à le m aintenir en position verticale. A l'île aux
Moutons, no n se ulement le monolithe n'est pas calé, m ais
son soubassement fait partie intégrante de la roche de l'île
sous-jacente, ainsi que n ou s avons pu nous en assurer. Du
reste on peut saisir le processus de dégradation du roc à
quelques mètres de ce soi-disant menhir. On voit, en effet,
des fissures délitant la roche et tendant à la découper en un
monolithe vertical. Dans un temps plu s ou moins rapproché
il se peut q ue l 'île aux Moutons soit gratifiée d'un second
pseudo-menhir.
ILE GUIRIDE N. Cette île est un fra g ment de cordon
littoral recouvert par les sables . Ceux-ci, en s'accumulant

sur un pointement rocheux, ont fini par former une butte
tumulaire. C'est ce qu'a révélé la fouille que nous y avons faite
durant quatre jours. Il n'y donc pas de tumulus artificiel à
Guiriden, mais amas de galets, de sable et de coquillages
'a menés par le flot.
1 LE DRENNEC. - Ruines de plusieurs dolmen s.
ILE BANANEC. - Quelques blocs épars et de petite taille

dont il est impossible de dire s'ils sont des vestiges de m onu-
ments. Une fouille pourrait seule donner des indications

certames a ce sUJet.
ILE DU LOCH. - Cette île contient incontestablement des
co ffres, dont la date reste d'ailleurs fort problèmatique. Etant
donn é la grande quantité de silex retouchés qui se trouvent à
proximité, il y aurait eu un grand intérèt à faire un e prospec­
tion méthodique et sérieuse de ce point de l'île. Malheureu­
semement les déprédations et les bouleversements occasionnés
par les précédents fouilleurs ne peuvent que rendre les
observations désormais bien difficiles. Nous formulons les
mêmes reg rêts au sujet des petits tumuli qui eussent réclamé
plus de soin et moins de précipitation dans leur exploration.
Enfin nou s ajouterons que, malgré toutes nos investigations,
il nous a été impossible de trouver le " cromlech presque
intact" signalé au Loch. Tous les blocs susceptibles d'avoir
donné lieu à cette interprétation sont des pointements rocheux
naturels.
ILE GUIAUTEC. Il n'y a pas le moindre alignement sur
cette île, mais des émergences du filon de quartz qui la traverse
du Sud-Est au Nord-Ouest.

ILE SAINT -NICOLAS. - Cette île possède un très petit

très ruiné. A notre arrivée ce monumen t se trouvait complète­
ment envahi par les ronces et. encombré de débris de toutes
sortes. Nous avons entrepris de le dégager, de l'approprier
et de rendre à l'île le seul ensemble mégalithiqu e certain qui
y existe.
Car, pas plus qu'à Guiautec et à l'île aux Moutons, nous
n'avons pu voir de menhir, du moins ceux qui ont été
désignés com me" pièces mégalithiques " (~). Quant au" petit·
menhir enfoui dans le sable " , ce n'est qu'un pointement
rocheux naturel dont la base fait corps avec le sous-sol
granitique. Une fouille qu e nous avons faite à la ba se de ce
bloc nous permet d'être affirmatif à ce suj et.
Au cours du travail de nettoyage du dolmen, nou s avons
constaté qu'il avait été fouillé jusqu'en dessous des supports.
Nous n'y avons rien trouvé en fait d'objets dolméniques, mais
nous avons recueilli, par contre, une pièce de monnaie portant
à l'avers une couronn e, avec l'in scription " GUILIEMl" et au
revers une croix avec les mots" COSIDUS COS" . Cette pièce
des comtes de Gien date sans doute de Guillaume II, comte
de Gien (vers 1093-1112). Voir Les monnaies féodales de
France de Poey d'Avant, 1858, pl. XXXXII-2I.
Nous n'avons pas jugé utile de tenter l'exploration des
tumuli de l'île, dont l'aspect mal délimité ne nous a paru
n'être que des ondulation s de la dune. Du reste, notre récente
expérience à Guiriden et les résultats peu probants des fouill es
antérieures pratiquées dans l'un d'eux ne pou vaient que nou s
mettre en défiance.

ILE BRUNEC. - Il nous a paru beaucoup plus intéressant
de porteF nos investigations su r l'île Brunec, située au Nord
de l'île Saint-Nicolas (fig. r). En effet, l'examen de l'éminence

nous avait révélé sur son som met la présence de plusieurs
blocs couchés à sa base et certaines émergences de granit à

dégradée par la m er laissait apparaître nettement les

pIerres

du galgal dont elle est composée (fig. 2) .
Nous avons donc commencé par décaper le terrain sur toute
la surface, du sommet à la base, de maniere à mettre à j our
les pierres supe rficielles du galgal et à nous rendre compte de
la forme de l'ensemble. Ce travail fut long et pénible, car,
immédiatement sous une " chevelure" d'herbes hautes et
rudes, le terrain, composé d'une infinité de petites racin es tres
serrées , offrait la consistance d'un véritable feutre, résistantaux
gros outils, les faisant rebondir et ne se laissant entamer par
. eux qu'avec les plus grand es difficultés. Nous avons enlevé de
la so rte toute la couche végétale haute de 60 % environ.
Immédiatement sous cette couche, nous avons mis à j our des
débri s de cuisine composés en grande partie de coquillages,
mélangés à des débris osseux et à des fragments de charbon.
La butte ainsi délimitée m esurait II metres sur 10 metres
environ (fig. 3).
Reprenant les travaux par la base du galgal, nous avons
dégagé les blocs debout dont le sommet émergeait du terrain.
Nous avons ainsi mis à jour une sorte de coffre, dont il ne

restait plus que trois pierres intactes mesurant respectivement
1 m. 70, 1 m . 32 et 1 m. 75 de large sur 70 % de haut environ

(fig, 4). La fouille de ce coffre et de ses abords nous a donné
pour la premiere couche, épaisse de 60 %, des débris de
cuisine, os et coquillages, et, à 2 mètres environ à l'Ouest de

la pierre n° 3 (v . plan), quelques débris de poterie dont nous
parlerons tout à l'heure. A l'Est, et toujours dan s cette première
couche, des scories de fer, un fragment d'anneau en fer assez
volumin eux, enfin une pierre en forme de meule primitive
portant des tl'âces de martelage. Cette pierre nous se mble
avoir été une enclume.
La couche inférieure du coffre , haute de 5 % à 6 % contenait,
surtout entre les supports 2 et 3, une quantité considérable de

reusement nous n'avons pu jusqu'ici reconstituer aucune
portion suffisamment importante pour nous permettre de
nous rendre compte de la forme des vases. Il est probable que
les objets déposés dans ce coITre à l'époque dolméniqu e se sont
écrasés d'abord sous le poids des occupants successif~, puis
sous le poids des pierres dont il fut comblé plus tard.
La fouille du coITre terminée, nou s avons dégagé ses abords
au Nord-Ouest en nous dirigeant vers le centre de la hutte.
Pour cela nous avons dégarni peu à peu le galgal en ayant
soin de commencer par la couche supérieure et en descendant
par tranches horizontales successives. Si durant ce travail
nous n'avons recueilli aucun objet, nous avons observé, par
contre, que les pierrea devenaient plus grosses au fur et à
mesure que nous avancions vers le sommet. Peu après nous

rencontrions plusieurs assises de pierres paraissant constituer
un parement de muraille. Puis, en poursuivantledégagement,
nous avons pu voir que ce parement dessinait une portion de
cercle de 3 m. 50 environ (fig. 5). Malheureusement, dégradé
au Nord-Est par la mer, il se perdait dans un amas de
pierrailles et au Sud-Ouest se trouvait démoli par une ancienne
tranchée que nous avions remarquée, du reste, au moment
du décapage superficiel du terrain. Malgré son peu d'étendue,
la présence d'une muraille nous parut de suite d'un excellent
augure. On sait, en effet, qu e, dans tous les tumuli intacts de
la Bretagne, cette muraille existe pour retenir les terres des
tertres ou les pierres du galgal qui recouvrent les sépultures.
Le monument, à moins qu'il n'ait été détruit par la tranchée
dont nous avions trouvé les traces, devait donc se trouver à
proximité. Et, de fait, en suivant notre muraille vers le Sud­
Ouest, nous avons mis à jour, 3 mètres plus loin, la partie
supérieure de ce que nous pen sions être un des supports du
dolmen (n° 4 du plan).
Avant de pou sser plus avant nos recherches et pour ne rien

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la muraille. A cet endroit, il n'y avait qu'une sorte de blocage,
composé de grosses pierres et de terre brune absolument
stérile, sous lequel et en approfondissant nous avons trouvé

le roc naturel à 40 % environ.

Revenant ensuite aux crètes des pierres que nous avions

mises précédemment à jour, et pensant avoir affaire à la
galerie du monument, nous avons attaqué notre fouille de ce
côté, c'est-à-dire au Nord-Ouest de la muraille. Nos prévisions
ss réalisèrent et nous découvrîmes successivemen L les supports
nO ' 4, 5 et 6, mesurant respectivement 85 %, go ~" et 1 m. 10
de haut S11 r 60 % , 55 , % et·45 . % 'de large, puis les fragm en ts

d'un quatrième support brisé d'une hauteur de 75 , % environ.
Après avoir trouvé la première paroi de 'la galerie, nous

nous mîmes 'en devoir de 'chercher la deuxième. Celle-ci, plus

éprouvé e que .la premiè~e et .probablement émanlée par les
fouillesprécécientes, se corpposàit du support n° 7 brisé,

mais bien en place, mesurant 35 % de haut sur 40 % de large,
du support n° 8 entier, mesurant 85 % sur 40 %, du support
n° g, brisé et renversé à demi dans la galerie, mesurant 65 %
sur 60 % ,enfin du support n° '[0, ·mesurant. 75 % sur
35 % ·(fig. 6) .
Les fouilles effectuées dans cette galerie furent absolument
négatives , le terrain ayant été bouleversé avant notre passage.
Après avoir remis en place le support renversé n° 9, nous
avons poursuivi notre travail.
La dalle n° [0 de' la galerie nous · fit découvrir sa voisine
n° [l, mesurant go %' de haut sur 1 m. 27 de large. Avec
celle-ci, disposée en orientation Nord-Ouest, nous avions le

commencement de la ,char:p.bre. ;lu d91men: Nous dégageâmes

en effet dans la suile lès' sU'ppO i'ts n

[2, -de i mètre de haut
sur go % de large-et n ° 13, de 1 .Q1. ... 15 sur 1 ID . 30"puis enfin

le support n " [4, .de l ·m. 10 sur : go %, faisant face à la

galerie et c0nstituan~· le·.:f9l'lcL·Çle la chambre· . ' ..

A .c. e ,moment .i. JI n"o:usfallut · {ptér.rom préle/d~g }g.emen t de

XnVAVH.L S: il .LNVAV S n'In Im.L · :n
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SVI0:)IN-.LSlI VS · 3:1[,1 3:0 32\ :)3:NnlHI 3'11,1 -

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. fIG. 3. - DÉGAGEMENT DU GALGAL .

FIG.

- LA MunA1LLE CIRCULAIRE

DÉGAGEMENT

DE LA GALERIE -

FIG. 7. - DÉGAGEMENT DE LA CHAMBRE

FIG. 8. - MUa EN PIERRES SÈCHES ÉLEVÉ A LA PLACE
DES SUPPORTS DISPARUS

la chambre pour soulever et transporter plus loin deux grosses
dalles gisant sur le sommet du galgal. Ce difficile travail
terminé, nous avons pu mettre à jour le support n° 15,
mesurant go % de haut sur 1 m. 15 de large. Malheureusement,
malgré toutes nos recherches, il nO:1 5 fut impossible de
retrouver d'autres supports; toute la partie Nord-Est de la

chambre avait été démolie et il n'en restait plus aucune
trace (fig. 7)'
La fouille de la chambre nous donna très peu d'objets:
nou s avons seulement trouvé dans la partie Sud-Ouest, au
pied des supports n O' II et 12, d'assez gros fragments d'un
vase à boutons placé sur une portion du dallage intact à cet
endroit et, dans la partie Nord, un rebord de vase à bouton et
un silex atypique.
La fouille de la chambre terminée, nous avons, fidèles à
notre méthode, consolidé les supports, nivelé le terrain et
remplacé par un muret de pierres sèches la paroi absente
(fig. 8). Évidemment, il nous eut été très facile d'employer à
ce dernier travail les deux dalles trouvées sur le sommet du
galgal et qui pouvaient fort bien avoir été les supports
manquants de la chambre. Mais, comme nous n'en avions pas
la certitude - ces dalles pouvant tout aussi bien être des
dalles de couverture du monument - et que nous ne remettons
en place que les blocs de la situation primitive desquels nous
sommes absolument sûrs, nous avons préféré nous abstenir
plutôt que de " refaire" un monument de fantaisie.
Malgré le peu d'objets récoltés dans ce monument nous
avons pu faire quelques constatations intéressantes.
Ainsi qu'il arrive souvent, un coffre avait été placé à la base
du tertre. D'autre part, les restes bien nets d'une muraille
circulaire venaient confirmer l'existence, constante dans les
tertres, de cette construction destinée à retenir les éléments
dont il est composé.
Enfin ce dolmen devait être du type à galerie ouverte,

c'est·à·dire que l'on pouvait y pénétrer en déplaçan t seulement

la dalle mobile qui l'obturait. A une époque assez récente, il

a été vidé de son mobilier et a servi de refuge ou d'habitation,
ce qui explique la présence de débris de cuisine en grande
quantité. La poterie ornée, tout à fait caractéristique, nous
permettra peut-être de fixer quelles peuplades s'y sont
réfugiées et à quelle époque. L'étude de ces tessons n'étant
pas encore terminée, nous nous réservons d'y revenir da os
une note ultérieure,

Il résulte de notre première explorâtion aux Iles Glénans
que de nombreux mégalithes, indiqués comme monuments,
ne sont en réalité que des roches naturelles, mais par contre
nous avons découvert dans l'île Brunec un dolmen, qu'à notre
connaissance personne n'avait signalé jusqu'alors,
Nous ne saurions donc trop insister sur les inconvénients
qu'il y a de se livrer à un examen superficiel dont le résultat
est de voir dans toute pierre dressée un mégalithe érigé
intentionnellement. Les moyens d'investigation sont trop
simples et trop élémentaires pour que de pareilles erreurs
puissent se produire de nos jours,
Outre que, sur la foi d'un compte-rendu inexact, on s'expose
à perdre un temps précieux dans la recherche de monuments
inexistants, il est toujours désagréable d'être obligé d'opérer
un redressement et une mise au point, que l'intérêt de la
science, cependant, exige absolument. ,
Nous sommes heureux néanmoins de l'occasion qui se
présente à nous d'apporter à la Société archéologique du
Finistère notre tribut de nouveaux venus avec. quelques
précisions sur les monuments mégalithiques des îles Glénans.
Nous terminons en adressant à MM. E. et Ch. Lecorre, de

l'intérêt qu'ils ont porté à nos travaux, pour tous les moyens
et facilités qu'ils ont si gracieusement mis à notre disposition.

Qu'il nous soit permis enfin, de reno uveler tous nos vif~

remerciements à noire collègue et ami. M. Monot, de Pont­
J'Abbé, dont l'aid e effi cace et la parfaite co nn aissance des
monuments de
concours (1 ).
Juin 1927'

sa région nous ont été d'un si

precIeux
MAHTHE & S' -J UST PÉQUART.

(i ) Les objets trouvés au cours de ces travaux ont été déposés au
107 -

DEUXIEME PARTIE
Table des Mémoires publiés en 1927
PAGES
1. Bonaparte glorifié au pays bigouden (26 août 1798),
par H. WAQUET. . . . . . . . . . . . . '. 3
Il. Un libraire morlaisien au XVI" siècle. Bernard de
Lea u, par L. LE GUENNEC. . . . . . . . . .. 11
III. Le nom de Laënnec. Un cas difficile d'onomastique.
par Joseph LOTH . . . . . . . . . . . . .. 32

IV. L'allée couverte de Men-Meur (Guilvinec), par
Marthe et Saint-Just P ÉQUART .. ...... , 48
V. Dolmen de Brunec (tIes Glénans), par Marthe et
Saint-Just PÉQUART . . . . .

VI. Le vieux manoir de Kersaliou en Saint-Pol-de-
Léon, par J.-M. AUSSEUR. . . . . . . . . .. 84
VII. Une émeute à Kernilis en 166(j, par H. WAQUET. 97