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Bulletin SAF 1916


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Mottes féodales

Abbé Mével, Yves Le Febvre

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Société Archéologique du Finistère - SAF 1916 tome 43 - Pages 103 à 110

MOTTES

FÉODALE S
Léon

LES GRAN GES, en Plouédern

Quand on se rend de Pl ouédern à Ploudani el par le chemin
qui débouche au village'de Kerarfang sur la route nationale
de Landerneau à Lesneven, on trouve, à 2 km -1 /2 du bourg
de Plouédern, la métairie des Granges, et, à 300 mètres à
l'Ou est de c:e lle-ci, l'ancien man oir de Penhoat·ar-Yar. A cet

endroit, la carte d'état-major marque une cote de 104 mètres,
et la vue, ·assez rapid emen t arrêtée au Sud par les collines
qui surpl om ben t la rive gauchede rElorn, s'étend en revanche
sa ns obstacle à l'O ues t, au Nord el fi l'Estju sques ur les au-delà
de Plaben nec, de Lesneven et de Landivisiau. C'est donc un
li eu bien choisi po ur un e constr uction militaire et, par le fait,
on en trouve, non un e, mais deux côte a côte.
La prem ière, à 100 mètres à l'Ou ést des Granges, est de

form e pre~que ca rrée : 30 mètres dans le se llS Est-Ouest, 25

dans l'a utre se ns. Ell e s'élève à ci, mètres au dessus du sol et ·
à 'e nvi ron t-l mèt.res au dessus des douves, là où cell es-ci, larges
de '1 mètres, ga rd ent leur plus granrle profondetir. Un parapet
moussu de 1 mètre de haut la bord e de toutes parts. A l'inté­
ri eur on ne voit d'autre tra ce de construction qu'un pan de
mur long d'environ 2 mètres et large d'autant, parallèle au
rempart Sud , et éloigné de lui de 5 a 6 mètres. Ce ne sont là
que des mesures approximatives: un ta illis épais recouvre
tout l'ouvrage et en rend l'exploration difficile.
La douve Nord sépa re cette enceinte d'une autre levée de

104
terre haute d'environ six llI èlres et forn' 1811 1 il SOli so mJ11f'1. Ull
'. ca n é aux angles al'I'olldi s, d'à peu près 1 0 lliètl' es J8 cô té.
C'était, sa lls doute, le donj oll relié a la fO l'leressc pal 1111 srlu ter­ rain ou [laI' ul le bau te passe rell e jelér. lU clessus des rossés.
Ces fossés SOll ttOUjO UI'S secs . ll1êlll eaprès les pilis fO l'les pill ies.
A moins d'ar oir été tap i~sés cI'un e COIIl: !l e de lel'I'e ili lper­
méable ou paves co mill e C8 l1X clu Helecq- Pl olllléour, i ls n'ont
j ama is dû cOllteni l' cI'eau I l eût rI 'a ilieurs éL é clangP l'eux de
les rempli l' d'ul le eau qui 11 8 P OU \ël it avoir alll:UII éco ul cll1 8111 ,
eLon peuLcl'Oi l'e que les habitants clii ri ell x cliâtpilU S'I~II sonl
bien gardés. Si donccel'taill es fO l'tpl'bssesféociales S'Cil loul'ai ellt
d'eau, cI 'a utres - ceson t, j ecl'ois, I('s [llus ancieli ll es Ollt dO.
de par la posilio ll même oû elles s'é lablissa if'n l, se contentel'
de tranch ées sèches, lesquelles, du l' es te, comille cha cun sa il.
so nt actuellement les se ul es C1ppl'éciées .

Au delà du fossé Est, 011 rC lllal'qu e des exca vali O llS da lls le
sol et des vesliges de 1l1~I 'S se cUllpanl à all~le droit, resl.es
apparemm ent d'anciell nes habilali olls desquelles 011 Il'avil it
qu'un pas a fail'e pour trouver, el l CilS cI'ul ert e, Uil abri deni ère
les muraill es de la forteresse _
A 2;) mèlrps il l'Oup.st du ca mp donl i l vi p'lIl cI'êlre qu esli oll ,
s'élève Ulle ell ceinte ca rr ép. cil'! 40 mèlres de càlé.l\l oills lI aule
sur le sc l (c llviroll :2 IIlè llÏ~s ) , ell e a, pa l' cOlltre, dt's dUllres
qui SO!I I., à cp.r la il ls elldroils plus pru follLles '-lue celles cil' la
pre mière. Sur Ip. cô lé OU Ps l. II~ p~ I'apP t 8 ull e hall!('lIr de
2 III 50 ali -dessus de la plalp.-fO l'l llP : su r les fllllres fa ces, il

est beaucoup plus a!raissé _ l'as dp. ll l ce de consll'ucLi ol1 à
l'j III é j' i e II I' .
Qu'p st-cP. qu e cet i1 UVI'8f!e? UII Céllnp I 011l ai 1 1 ? li lle \-la l'aH

pa s, car on ll"oll \'e 8UX alPll lours III C U II débri s ca raclérisli-
que. Un oppidu m ga ul ois? Des foui llPS POU I'!'liP III. le faire
sa voir. 11 es L dit-ail, relié au ca mp dén il plus lI aul.. pa r Ulle
commun ical ion souterraill e, ce qlli porle il croil 'e .q u'il n'en a
élé qu'une allllPxe. Bien qu'il ne soit éloig llé cl e Penh oa l que

d'une centaille de mètres, il appartient aux Granges, terre
qlli a clé possédée pal' l es seigneurs de Carman ju sp u'a u co m­
mellCClll ent du XVIIe siècle, époque où elle pa ssa aux Pellan­
coët, ~eigneurs de Quilli!l1ad ec, aillsi que l'a ltes te un e pi èce

c!r,s archi ves paroissialr.s de Trémaouézan, un ayeu fourni à
Chal'lolLe Esco ubl ea u. (j,till e marquise de CarmaLJ, à cause de
sa seiglleurie des Gr8 1lges, à /, reSe/ll au seigneur de Qui IIi ma-
dec. li ( 1 6;)5. ) .
QlIant au mdiloil' de Piè ll il oa t. il fuisait partie des posses­ S iO llS des Le Jar ou ellet dt; bois 1 (~Jar, Sieurs de Pen i1 0il t
ell P!ouédern, du Cosquer en Trémao uézan , etc . et qui por­
tai ent: d'arflenl à III lwu /e essor,;(' de Sali /c, cràee (1 lim'!JeLée
de qucllil's, hecquee et mem!wfc ((ur, d'où le nom de Penhoat­
ar-Yar.
L e nom breto n des Granges, (; ral/!:hn ll , Cranc/wu, pa l'a îl
n'être qu'une nasal isation de (" reclt'ci,ou (tertres, monticul es) .
Dan s le Morbiball Orac'h, Crac'chou. Les Bretons ci e ce co in

du Léon disent cranchal (cràc her ), dann wi:: pour c1a ou viz

(de ux Illois ), armonss pour al' mouss (le petit val et), etc. (1)
Quillimadec, en Sainl-M éen
La 1I10tie de Quillim adee se trouve n c ]uelqu e !:iOO mètres

ail SlIrI -Est du point de rellcon lre des limites de Pl ouda-
niel, Tregarantec et Sa i nl-Méen, au centre clu triangle que
laissellt ellt re eux les villages cie Bouci1éozen, de Qu illi­
maclecr.t de Quillimadec-Coz_ Entre ces vill ages passe, venant
cie Pl ou llé\'cn ter pour all er ~e jeter dans la Manche auprès cie
Glli sséllY, la petite rivi ère Ilo lflmé L A QuillilllaciecoLl Roud ou ­ hi!'. Uil minuscule rui sseau descendant c1es hauteurs cie
_ Bouchéozell se joi nt. ell ce t elld roit au Roucloubir. C'est
en tre les cieux cou rs cI'eau, su r un bl oc ci e roches erra ­ tiqu es cl éta chées clu cotr.a u voisin que se dresse la molle

(- 1) A linéa exlrait de la monographie manuscrite de Trcmaollézan.

'106
que l'on appelle le fort (a r fort)deQuillimadec, bien que lesde ux
villagesdecenom soienL en Ploudaniel et la In otteen S(ljlll-Méen.
Elevée d'une quinzaine de mètres au-dessous du sol de la
vallée, la for tel'esse avait de larges douves qu'on distingue
enco re à une légère dép ression et à la couleur moins foncée
de l'herbe SU l' leur parcours. L'ouvrage, à cause des ébo ule­ ments. a pris une forme ova laire, mais il semble bien · que
. le mur d'enceinte autour de la butte affectait la form e d'un
rectangle. Quoi qu'il en soit, la plate-forme mesure 50 mè­
tres de lon gueur Est-Ouest, et 40 Nord-Sud. A l'ext rém ité

occ id enta le, une masse de ruines avec un creux au milieu,

semble être les restes du donjon. Une autre grosse tour de-
vait s'élever à l'extrém ité opposée. Elltre les deux, les vestiges

d'un mur intéri eur cou rant parallèlement au rempa rt Sud.
Quelques coups de pioche dans le fouilli s dA pierres écrou lées
sur toute la surIace du tertre dégageraiellt la base des murs

qui semble inta ct en bea uco up d'endroit8.
La Molle occupan t le centre d'une cuvelle entourée de col-

lines, l'horizon est barrée de tous côtés et la vue restreinte,
mais avec Ulle tour de médiocre hauteur on dominait facil e­ mellt les plateaux ellvironnants.
La douve Ouest sépare le fort d'une espèce d'avant-corps
de forme Irapézoïda le construit à même le sol. Le côté qui
bo rde la douve a une ceulaine de mètres de longueur; le plus
pe tit, éloigné du prem ier d'environ 50 mètres, est long de 40.
Cette spconde enceinte, qu'entourent des murailles assez épa is­ ses, a pu serv ir de janlill, ou con ten ir les habitations des ge ns
qui vivaient sous la proteclioll du château .

A 400 mètres au Sud de la mOlte, en remontant le valloll,
se rencolltreut au village actuel de Quillimadec, les ruin es du

malloi l' du XV" ou du XV Ie siècle où a vécu ju sq u'à la révol u
lion la famille des sieurs de Peuancoët, seigne urs de Quilli­
mad ec qui blasonllaient d'al'gelll au chej endenchéde gueule s,

107
Le moulill seigneurial, di spa ru lui au ss i, se trouvait à
~jOO Ill ètres au-desso us de la motte, au Nord-Ou esl. En CO Il­ tlï;- bas de la cbau ssée qui existe touj ours, pa sse le chemin
qlli vi ent de Kerilien et traverse la co mmune de Ploudani el,
un peu au Sud du bou rg. p; )ur se diri ger vers Plabenn ec. Sur
ce chemin, à "" 300 mètres à l'Ou es t du Moulin, deux vi eill es
croix de granit po rtent le nom de Croassiou Boum, croix de
Rome. On trouve au ssi, paraît-il , de nombreux débris de
tui les et de briqu es dans un champ situé à un e centain e de
mètres ou N. -E. de Quillimadec.

MAILLE.

J. MEVEL

LE VRENN
M ON C HER PRÉ S ID ENT,
En lisant votre intéressante étud e sur les M olles féodal es et
celle de notre co ll ègue M. Le Guenn ec, la pe nsée me vi ent de
vous signale r deux mottes qui vous ont éc happé dans les
environs immédiats de Pl ouescat, en Pl ounévez et en Cléder.
Il s'a'git de de ux mottes, dont l'un e est très importa nte, et
qui so nt susce ptibl es par leur situ ation de co nstitu er un
ense mble assez curi eux av ec ce lle de "Tourllus" qu e vous avez
signal ée e t ce lles de" Torguell -Kervadec " et de " La Tour"
notées par M. Le Gu enn ec.
La premi ère de ces mottes est parti culi èrement remarquable .
. Je 5ui s étonné qu e ni vous, ni notre co ll èg ue M. Le Gu enn ec
n'e n ayez fait menti on. Ell e en vaut la peine. Elle se trouve
à environ trois ou qu atre ce nts mètres de Maillé, au Sud Ou est
du château ac tu el. On y accède de la grand e route de Pl ouesçat
à Landivisiau pa l' un e forte levée de terre fai sant chaussée et
visiblemetlt ancienll e. La motte proprement dite, autant que

108

j'ai ru la juger, s'élève à une dizain e de mètr es au-desslls du .
fossé circulaire. La dou ,'e d'ell ce.inlea douze à quinze mètres
delal'ge. La Ill ollea la forme llabilu el le d'lli i va sle côn e lronqué,
Elle est l'eco uvel'Le d'herbe et d'ajoll cs el mes ure au sommet
une vin gtaine de In ètres de diamètre, Vous pouvez juger de
SO li ill1pon all ce par ces mesures approximativ es . Elle est très
bien conser vée. On peul pel lser que cette moll e, d'un e allure .
encore si pui ssante, représente SUI' le large coteau qu'elle
dO lllille l'el npl acement du vi eux châl Aa u de Sp iz Pl ollé qui
serait, dit·on, l'an cêtre du ch8 te au de :\1aillé. La vu e v A sl

va sle et belle enlre la Ill er, les lalld es de Pl oul1évez, les haules

futaies de Kergo ul'l1ad ech el de h erj ean, Par delà les clochers
de Berven et de Sainl Vougi:l y on ape rçoit au fond de l'horizon
la dentelure bleue ou gri se de l'arez.
La seconde molle que je juge ulile de V O li S signal er en moin s
l'econllai ssa ble à preillière vu e. Il es t possiblp Lj ue la moll e de
Maillé a Seiz-Ploué ait dejà été décrile ou indiqu ée rrécédem­
ment . Je ne pense pas qU 'OIl ait jamais menti onn é C A ll e du
" Vreull " , dan s le sa uvage paysage qui lui sert de décor, au­
dessus du ravin profond où coule la rivi ère fa cilem ent tor­ rentueuse, entre l( ergo ul'l1adech et Plouescat. Celte motte se
Irouve àl kil omètre ou 1 km 1/ 2 à l'est de i\[aillé, On
peul s'y rendre ai sp.ment, lorsqu'on arrive ci e Landi(lisiau,
ell suivant à droile le cbemill de Plounévez-L ochrist qui coupe
il allgle droit la 1'01ll.e départ emenlal e un pell plus loill qu e
~1aillé, au " Spern en ". Ce ch em in qui es t \'i siblell1Pllt une
vi eill e voie féodale ou romaine y mèlle lout clroit. L orsqu'on

arrive il la rivi ère. qll A le chemin franchit SUI' un ponl. d'ar­ chil eclllre ancienne , on a jusle en fa ce de soi la large molte·
arasée du "Vr elln". Le nom en esl attirant. J'y sui s monlé
plu !Oieurs fois pal' le sen lier qui esca lade la coll ine. La vu e,
1l10ill S va ste peut - f~tre qu'à Maillé, es l. parmi les plus pit·
toresques, parmi les pl us sauva ges. 011 y domine loute la peli te
rivi ère qui est par endroits comme une gorge el qui serpenle

'109 -
de moulill f\n moulin, entre les landes et les taillis, depuis

Kergo l1rnad pck jusqu'à l a. mer. Je vous l'ai dit, la motle est
arasée, pareille à un sill1plfl ren flemellt ou co mme un e bou r­ sou flure su r le cOlea u. On reconna ît cependant sa form e oval e
et le dessin des douves. Au sud, sur le pic du coteau r eco uvert
d'ajoncs, il y a un petit tel'lre circula ire qu i m'a paru être
l'e mpla cemellt du donjon. La terre affou illée pal' les taup es,
reQferm e des débris assez abondents d'un e argil e rougeâ tre,
peut-être cuite, qui dénote en toutcas un sO ll s-so l d'écroulement
et les restes d'anciennes substru cLions, C'est une bypotbèse .

Ces témoin s n'auraient peut-être pas suffi pour asseoir ma
co'nvicti on; mais le moulin, au·dessous, s'appell e " le moulin
du Chastel", ce qu i est une preuvé complémentaire. D'autre
part, tout près du pont ancien dont je vous ai déjà parlé, il
. Y a une vieille fon taine dédiée à sainte Brigitte, La légende
prétend que la sa inte vou lant échap per à'des Barbares ou des
brigands, maîtres du château, aura iL sa uté par dess us la
rivi ère jusqu 'à ce lieu où des cierges brûlent enco re souvent,
près de sa' sta[u e, dans la niche qu i, selon un usage assez
fréquent, recouvre la fontaille miraculeuse, Je crois bi en qu'il
est permis d'in férer de cet ense mbl e de faits, après les consta·
tation s qui précèdent, l'exi stence d'une motte féoda le servant
d'assise à quelque vi eux et rud e château, sur cette col li ne
sauvage si propice à la défense, haLite de 25 à 30 mètres, nid
d'aigl e ou d'épervi er. Certains disent que ce cbâteàu était le
châteaIJ du père mème deSainte-Brigilte. Qu elle en eSlla date?
Quelle en fut l'h istoire? A quels événements se rapportent

ces légend es obscures? Je n'en sais ri en; mais il serait sans
doute possibl e d'en retrou\' er quelques traces dans l'hi stoire
de Sainte BrigittA Je n'ai malheureusemen t pas cette histoire '
en tre les mains et je ne pui s ici, à Pl ouesca t, faite aucune
r echerche intéressante à cet éga rd. Peut·êlre quelqu'un parmi
nos savanls coll ègues sera ·t-il en meS l1re de co mplèter sur ce
point la communication que j'ai cru utile de vous adresser et

- 110 -
qui n'a d'a utre but que de compléter, en ce qui conce rne le
Léo n, vo tre étude et ce ll e de M. L. Le Guenn ec sur les "m olles
féoda le:;" de la région.
Ve uill ez agrée r, M onsieur le Préside nt et cher Co ll ègue,
l'expression dA mes sentim enls les meill ellrs el res pec tu eu­ sement dévo ués.
Yves LE FEBVRE.

363

DEUXIEME PARTIE

Table des mémoiTes pub liés en 1916
1 Argud Absrwrac' h, Le Combat de l'Aberwracî1,
, çomposé par M. l'aBbé Goulven Morvan, tra­
duit par :\1. le chanoine Abgrall . ... ,....... 3,

2 Inscl"ptions gravées et sCLllptées sur les églis·es .

~ et (tlonuments, recueillies par M. !e chanoine
Abg rall ........ . .... .. .. .. ... . . .. ............. .
3 :\1ottes :éodales, par :\1. l'abbé Méve' et M, Yves
Le F'eb\'re .......... . ... . ... .. ... . .. . . . . .. ... .

4 · Le vra i texte de l'histoire rniracu'euse de N.D.
du Folgoët, par M. Lécureux .. . . . .. .. ... , . ... ,
5 Le P·rieuré de Lochrist-an-Izelvet, . par M. Ogés ..
6 L'hymne alphabétique et l·es vies de saint Gué­
nolé et de saint Idunet,' dans le cartu:ai·re . de
. Landévenn ec, par le P. de Bruyne .. , .. .. .. . .
7 Petite- chrenique· de l\1onsi,eur sainct Tugen, par
M. Le Carguet. . . .. . . ... ,. . ... . . . . . . 184, 213,
8 Notes sur l'établissement du Télégraphe Chappe,
par Daniel Bernard ............... , . , . ... . . , .
,9 Lettres d'un Tambour de la 1

Répub'ique r. e­ cueillie et publiées pal' M, Marzin... .. . 249,

10 Autour du Moulin-Blanc, 'avec planch'es, par
M. Le Gtiennec .. . ..... ......... .. . . .. . .... .. .
11 Que'qu,es bornes routières, du temps du duc
d'Aiguillon, paT M. le chan oine Abgrall . .. .. ,.
12 Ex· cufsiQn archéologique aux r uines romaines du
Pérenno u, par : -"'1. le chanoine Abgra' J .

13 Guilers, notic. e paroissiale, par M. le comte Co-
nen de Saint-Luc .......... . .. : . . .. . . ... . .... . .

14 Discours de fin d'année, par M. le Président. . ....

Pages

111

201
261