Responsive image
 

Bulletin SAF 1907


Télécharger le bulletin 1907

Rennes et ses abords à l’époque gallo-romaine

Dr C.-A. Picquenard

Avertissement : ce texte provient d'une reconnaissance optique de caractères (OCR). Il n'y a pas de mise en page et les erreurs de reconnaissance sont fréquentes

Société Archéologique du Finistère - SAF 1907 tome 34 - Pages 109 à 117

L'EPOQUE GALLO-ROMAINE

Dans cette étude je vais essayer de compléter ce que dit
M. de la Borderie de Rennes gallo-romain, pages 133 à
143 du premier volume de son Ristoire de Bretagne. Il est, en
effet, un point qu'il a laissé dans l'ombre c'est le régime
ancien de la Vilaine et de l'Ille, rivières aux confluents
desquelles Rennes était assis.- Or, il est certai. n que le

Dr Toulmouche a vu clair, dès 1846, dans cette intéressante
question ; on trouve dans son Ristoire archéologique de

la ville de Rennes, pages 6 à 8 des passages typiques à
ce sujet; enfin ces dernières années le célèbre géologue
quimpérois feu M . . Lebesconte a publié, partie en collabo·
ration avec M. Bézier, directeur du Musée d'Histoire Natu­
relle de Rennes, d'intéressants travaux sur les alluvions

gallo-romaines de la vallée de la Vilaine à Rennes (1).
Je crois que l'étude de l'état ancien de cette curieuse vallée
et de son annexe la vallée de l' llle est de nature à nous
ouvrir des horizons assez nets sur la distribution des voies
de communication qui entraient alors dans Rennes et qui
en partaient et sur la position des différentes portes de

la ville à l'époque gallo-romaine.
Mais avant d'étudier l'état des deux vallées à l'époque
(1.) Ces divers travaux ont été publiés dans le Bulletin de la Société
Scientifique et Médicale, Rennes, 1896-97-98.

gallo-romaine je dois do~ner, pour bien poser la question,
un aperçu de la situation de l'ancienne Condate, telle

qu'elle se présentait après l'avènement de Tetricus, entre
les années 268 et 288 de l'ère chrétienne.
Rennes était situé sur un 'coteau au confluent ' de l'Ille
et de la Vilaine, au centre d'une région mollement ondulée
dont le sous-sol est formé d'une roche sédimentaire très
ancienne, tendre, lamelleuse, d'un bleu verdâtre _ ou d'un
gris pâle, connue des géologues sous le nom de schistes de

Rennes .

Son mur d'enceinte construit, au-dessus des fondations,
en pierres de petit appareil disposées sur trois rangs,
alternant avec trois rangs de briques et ainsi de suite,
se développait ainsi: le côté Sud commençait vers le bas

de la rue de Rohan, près du pont de Nemours actuel et
courait à l'Ouest pour aboutir en trajet rectiligne à la
place ,de la Mission. Là, le rempart montait au Nord-Ouest

passait derrière l'ancien Hôtel de Ville aujourd'hui l'Ecole
d'Artillerie, tournait au Nord-Est par la porte Mordelaise
et les Lices, gagnait la porte Saint-Michel pour se rabattre
au Sud-Ouest, prenant · en écharpe les maisons situées
entre les rues Ralliel' et Chateaurenault, aboutissait à

l'angle de cette rue et de la rue La Fayette et, de là, des-

cendait directement du Nord au Sud vers la Vilaine, en
passant le long de l'Hôtel de Ville, par les rues Chateau­
renault, de l'Horloge et de Rohan. Les faubourgs, proba­
blement réunion de riches villas, s'étendaient, comme de
nombreuses trouvailles l'ont montré, jusqu'au côteau de

Saint-Martin là où est aujourd'hui l'Hôtel-Dieu. M. de la
Borderie assigne au cimetière qui avoisinait la ville

l'emplacement du carré Du Guesclin au Jardin des Plantes,
de la' place Sainte-Melaine et du parc de la Préfecture

Je ne serais pas étonné que ce cimetière s'étendit à 300
ou .400 mètres plus à l'Ouest jusqu'au pied du rempart

qui descendait de la rue Chateaurenault. vers la Vilaine.
Pendant les travaux exécutés pour l'établissement des
tramways, j'ai vu, en effet, les ouvriers mettre à jour
une sépulture gallo-romaine dans la partie de la place qui
s'étend devant l'Hôtel de Ville, à côté de débris parmi .
lesquels se trouve une tuile à crochet faisant partie de mes
collections.
La forêt de Rennes située aujourd'hui à plus de 9 kilomè­
tres au Nord-Est de la ville a dû s'avancer alors jusqu'aux
limites du cimetière précité et des propriétés éparses sur
les coteaux des bords de l'Ille. A cette partie de la forêt sitùée
sur la rive droite de la Vilaine correspondait probablement un
massif boisé de rive gauche dont le parc de Cucé~ dépouillé
de ses grands arbres il y a quelques années, et la forêt de
Chantepie, semblent être des témoins ayant subsisté jusqu'à

nos jours. En ce qui concerne le massif forestier de la rive

droite de la Vilaine, il me semble bien, par l'examen de la
végétation, què la forêt de Rennes et les bois des Vaux et
des Gayeulles situés entre cette forêt et Rennes constituent
les débris d'un massif ancien développé entre les deux
rivières et se dirigeant à l'Ouest vers leur confluent. J'ai,
d'ailleurs, déjà signalé les affinités qui existent entre la flore
de ces trois localités dans une note au bas de la page 95 de
mon Catalogue des plantes vasculaires spontanées du dépat- .

tement d'Ille-et- Vilaine (1). Quand au parc de Cucé, sur la
rive gauche, sa faune et sa flore offraient de curieux points
communs avec la faune et la flore de la forêt de Rennes (2) .

(:1) Publié dans le Bulletin de la Société des Sciences naturelles de l'Ouest
de la France, en 1897. La forêt de Rennes renferme, entre au tres plantes,
Ranunculus nemorosus, DC., Phyteuma spicatum, L., EupllOl'bia dulcis, L.,
dont la première et la seconde se retrouvent au bois de Vaux, et la pre­
mière et la troisième au bois des Gayeulles.
(2) Sur les arbres de Cucé croissait, comme à la forêt de Rennes, un beau
lichen, le Sticta pulmonacea Ach., et on retrouvait à Cucé l'intéressant
Carabus intricatus L., Coléoptère abondant · en forêt de Rennes comme
dans la plupart des grandes forêts de Bretagne .

Ceci étant posé quittons les coteaux et jetons · un coup
d'œil sur le fond de la vallée gallo-romaine.
Je commence par citer la phrase du Dr Toulmouche
page 6 de son Histoire archéologique de la ville de Rennes.
Le lit de la rivière, dit cet auteur) (c devait donc occuper
une notable partie de la vallée dans laquelle il coule, car les
prairies qui depuis Pont-RémI jusqu'à Rennes et depuis
cette ville jusque beaucoup au-dessus, en ont graduellement
rétréci le. lit ont dû se .former d'alluvions successivés. se
faisant d'abord d'une manière en quelque sorte séculaire, et,
plus tard, avec bien moins de lenteur, lorsque les diverses
écluses établies au XVe siècle en eurent favorisé les
dépôts (1). On peut, en effet, suivre pour · ainsi dire les
diverses phases du comblement graduel du lit de la rivière
parces derniers, en examinan~ avec soin les couches formées
depuis l'occupation romaine jusqu'à l'époque actuelle.
Ainsi, déjà, durant la première, ]es sables se déposèrent
dans une épaisseur de plusieurs pieds comme l'a démontré
la limite dans laquelle on a rencontré les pièces de monnaies,

une ligne brunâtre plus foncée, colorée par l'oxide de fer,
semblant avoir été, durant ce temps. le dernier dépôt
d'exhaussement du fond du fleuve; puisqu'au-dessus on n'en
trouve plus de semblable.
« Dans une seconde période qui succéda à la précédente,
il se déposa un sable plus fin, moins pierreux, encore peu
chargé de terre, moins dur à attaquer avec le pic, et dont
l'épaisseur peut être évaluée à 24 ou 30 décimètres. Il dût
s'accumuler, depuis l'époque où les conquérants de la Gaule
furent forcés de l'abandonner, jusqu'à celle où le ralentisse­
ment du cours du fleuve, par suite de l'exhaussement
progressif de son fond, permettait à plus de terre entraînée

(1.) A mesure que le fond de la rivière s'élevait ainsi se formèrent. diver-
ses îles où s'étendit plus tard la basse-ville de Rennes. Ce fut le canal
rectifié dans la première moitié du siècle dernier qui remplaça définitiye­
ment ces boucles de la rivière.

de s'y mêler, mais dénotait encore un cours assez rapide ) .
Je' complète cette citation par une autre empruntée à la
page 8 du même ouvrage: « Ce qui achève de rendre
évidentes les explications précédentes, c'est qu'en creusant
des points assez éloignés du lit actuel de cette rivière (la

Vilaine), dans les prairies alluviales formées le long de ses

bords, on retrouve la succession des conches, ' indiquant

tJu'à des époques reculées elle devait occuper une bien plus
grande largeur de la vallée dans laquelle elle coule »).
Rien n'est plus exact que ce que dit le Dr Toulmouche
au sujet de la largeur ancienne de la Vilaine à Rennes et en
amont comme en aval de cette ville.
L'époque où se déposa dans le fond d'un véritable lac
cette nappe d'alluvions composée en grande partie Je gra­
viers bruns et de graviers gris alternant avec des lits argi­
leux nous est révélée par les nombreuses pièces ou médailles

romaines qu'on y a rencontrées par mîlliers. Mais ce que
cet auteur n'a pas vu ou a négligé de noter c'est la présence
parmi les éléments constitutifs des graviers bruns et même
parmi les éléments des graviers gris qui les surmontent de
tonte une série de roches qui ne peuvent provenir que du

Sud du département tels que les schistes rouges, poudin- .
gues des schistes rouges, schistes grauwackeux et psam­
mites. MM. Lebesconte et Bézier qui rapportent · le fait
admettent {( qu'à cette époque les courants se produisaient
sensiblement du Sud au Nord )). Nous voilà donc sur les
bords d'un grand lac où se déversent deux rivières coulant
du Nord au Sud et les courants venus du Sud ont assez de

puissance pour faire remonter dans ce lac des blocs de '
pierres dont certains ont parcouru peut-être un trajet de 40
kilomètres en amont de leur gisement. De même les troncs
d'arbres trouvés dans les graviers gris, sont presque tous
orientés du Sud au Nord. MM. Lebesconte et Bézier pensent
que « les dépôts de gTavie1'S bTuns ont été produits par
BULLETIN ARCHÉOL. DU FINISTÈRE. TOME XXXIV (Mémoires) 8 .

d'énormes courants, brusques, rapides, provenant d'un
régime pluvial très abondant, ce qui les a: rendus capables
de creuser, de rav.iner les schistes sous-jacents ainsi que
d'arracher et de désagréger les roches diverses de la
région». Les mêmes auteurs font remarquer fort justement
que l'action de ces courants venus du Sud n'est pas un fait
isolé et que, lorsque des couches de graviers identiques à

celles de la vallée de la Vilaine se déposaient dans le Nord
de la Belgique des courants venus du Sud-Ouest y mélan_
geaient des rognons de silex enlevés au terrain crétacé (1).
, Voilà donc un premier point d'acquis: Rennes gailo­
romain était au bord d'un lac qui se comblait peu à peu (2).
Mais ~st-il possible de déterminer les contours de ce lac?

Nous savons déjà par les citations tirées de l'ouvrage du
Dr Toulmouche que ce lac était large puisque les alluvions
caractéristiques de l'époque gallo romaine ont été rencon­
trées assez loin des bords actuels dG la rivière. Il est certain
qu'au Sud du promontoire où s'élevait Hennes il offrait une

grande largeur, environ 1 kilomètre.

Du côté Ouest, au contraire il semble, d'après la disposi ..
~ion des coteaux qu'il devait se resserrer au-dessus du con­
fluent de l'Ille puis s'élargir à nouveau 'à 1 kilomètl'e en
amont. En aval de Rennes sa nappe devait se c::mtinuer très
large également. /_
Ce deuxième point étant acquis, voyons si nous ne serons
pas amenés à nous faire, par suite, une conception particu­
lière des voies , qui aboutissaient au bord de cette nappe

(1) LEBESCON1'E ET BÉZIER : Description stratigraphique des terrains qua­
ternaires et des allu vions modernes de la vallée de la Vilaine dans la

partie Est de la ville de Rennes, Bull. Soc. Scientif. et Médie. de l'Ouest,
, i897, p. 221 et suiy.
(2) Remarquons qu'une fois le travail de comblement commencé il
continua régulièrement et que dans la période d'immersion qui au XIV­
ou au XV- siècle ramena la mer dans les marais de Redon, et sur les côtes
du Mont Saint-Michel, de Normandie, de Flandre, Rennes ne fut pas
atteint.

, 115 -

d'eAU et si l'étude de leurs directions probables ne nous per-
mettra pas d'établir leurs points d'arrivée dans la ville
'osi que leurs points de départ et de fixer ' par suite l'em-

lacement des anciennes portes de la cité. ' .
cieu pont Saint-Germain et à 30 mètres en amont du pont
actuel de Berl1n on a trouvé en travers de la, rivière, dans
les couches gallo-romaines enviro1l30.000 monnaies romai­
nes apparteoant à une période' de 9 à 10 siècles et compre- .
oilnt celles de la République, du Haut et du Bas-Empire ..
On considère aujourd'hui ces monnaies réunies en ' si

grand nombre sur un espace restreint comme des offran,des:
aux divinités des eaux, fa ites par ceux qui passaient le bac'
très fréquenté reliant à Rennes la grande voie ven~e de
Jnliomagus par Sipia et indiquée sur la Table de , Peu-'

tino'er. L'existence de ce bac ne peut être mise en doute et

j'insiste sur ce fait qu'en amont ou en aval de ce point on '
n'a trouvé aucune espèce d'autre zone à monnaies; en '
descendant vers le confluent de l'Ille les diverses fouilles'

ont surtout livré des monnaies romaines, peu abondantes

d'ailleurs, que le courant avait transportées jusque-l~.
A mon avis la voie de Juliomagus continuant réguliè­
rement depuis Sipia sa direction du Sud- Est au Nord-Ouest, '
c'est en face de son point d'arrivée sur la rive gauche du"
lac de Rennes qne devait s'opérer SOIf enlrée dans l'enceinte"

sur la rive droite. Je crois que la vieille porte Baudraèl'e'
indiquée par le Dr'Toulmouche sur le plan de la première
enceillte de Rennes était l'endroit par où elle pénétrait

dans la ville après avoir reçu d'autres voies venues soit du
Sud ou de l'Est, soit du Nord-Est, mais que je n'ai pas l'in­
tention d'étudier ici, Cette porte Baudraère située près de '
l'angle Sud Est de l'enceinte gallo-romaine remplissait

tous les désider'ataet il n'est pas nécessaire de S8' livrer,
comme le Dr Toulmouche à des hypothèses pour reèhercher '

.sur le côté Sud do la première enceinte l'emplaoement de

la porte Aivière. Si une pareille porte avait existé l'on
aurait, après tant de fouilles bien faites, tout le long de
la Vilaine actuelle retrouvé quelqu'autre zone à monnaies '

romaines indiquant un passage d'eau et l'on n'a rien cons,
taté de semblable. La partie de mur avec poterne étudiée
par le Dr Toulmouche au bas de la rue du Cartage n'est
qu'une mauvaise reconstruction bretonne du mur gallo-
, romain de la cité. La direction oblique de la voie venue de
Juliomagus se continuait toujours ve'rs le Nord-Ouest au­
delà de Rennes et l'on sait qu'elle atteignait, comme
l'indiq~e la Table de Peutinger, Beginea IOU Erquy) après
avoir passé à Panum Martis (ou Corseul). Prenant en
écharpe le pentagone formé p'ar l'enceinte de Rennes elle
sortait forcément au Nord-Ouest du côté de la porte
Mordelaise. Rien ne prouve absolument que la. porte Nord­
Ouest se trouvait exactement là où est aujourd'hui la porte

Mordelaise mais rien ne prouve absolument le contraire;
l'ancienne porte et la porte actuelle ont certainement été très
voisines si m'ème l'une n'a pas remplacé l'autre. J'ajoute

que la porte Mordelaise telle que nous la connaissons ne
date cependant que du XVe siècle. Sa seule partie fran­
chement romaine était la pierre portant une inscription en
l'honneur de Marc-Antoine Gordien (237-244) et oflerte au
Musée de Rennes en 1874 par le propriétaire de cette porte

M. Du Chatellier. En face de ce point de l'enceinte la vallée

gallo-romaine de l'Ille n'était pas extrêIlfement large, mais
on ignore comment la franchissait la voie de Reginea, Pour
moi les voies allant à Vorganium (Carhaix) et à Dartoritum
(Vannes) ne se séparaient de la voie de Réginea que sur la

rive droite de l'Ille. Il est permis de cro.ire que la porte
Saint-Michel qui existait il n'y a pas encore bien loùgtemps
dans le haut de la rive Rallier avait suc0édé à une porte

romaine: On y trouva lors de sa démolition, en 1868, des

fragments d'une inscription qui a été étudiée par le com­
mandant Mowat. (1 )De même une poterne de l'ancienne porte
Saint-Michel, poterne reconstruite probablement par les
Bretons de Noménoë ou d'Erispoë, livra, en 1890, quatorze
bornes milliaires entassées là pour consolider la réparation
du rempart (2). Mais la présence de ces débris romains ne
prouverait rien s'il n'était pas logique de supposer qu'une
porte située à la partie Nord de l'enceinte reliait la ville à
son faubourg signalé ci-dessus et livrait peut-être en même
temps passage à une voie.dirigée vers le Nord .
. En résumé Rennes gallo-romain était situé sur un côteau
formant cap et compris entre un lac bifurqué formé par la
Vilaine et l'Ille, d'un côté. L'agglomération principale était
enfermée dans une enceinte pen~agonale; un faubourg
s'étendait a'u Nord-Ouest; un cimetière au Nord-Est; dans le
pourtour de l'enceinte on ne . peut affirmer que l'existenc'e
de . deux portes l'une au Sud-E,st, l'autre au Nord-Ouest
correspondant à l'entrée et à la sortie de la voie de Julio­
maglls à Reginea, A ces deux ' portes paraissent avoir
succédé les portes Baudraère et Mordelaise. Une troisième

porte a probablement existé au Nord, là où s'éleva plus
tard la porte Saint-Michel, ' mais la poterne existant
aujourd'hui dans cette partie du rempart ne peut pas être
reportée au-delà de la première moitié du IXe siècle de notre'

ere.

Dr C. A. PICQUENARD.

(1) Bulletin de la Société Archéologique d'Il1e-et- Vilaine, p, 29i-3i5.
(2) Bulletin de la Société Archéologique d' IllNt-Vilaine i890 ou 91.

- 342-

DEUXIE E PARTIE

Table des mémoires et documents publiés en 1907

'" , cIO' , , . _

L'impôt du Vingtième à Audierne en 17~H par M. LE
CARGUET .................................... ....

Notes sur les anciens chemins de la paroisse d'Elliant,
par M. le Vie DE VILLIERS DU TERRAGE ............. .
Le Roman de La Tour-d'Auvergne, par ·M. J. TRÉVÉDY ..
Le District de Pont-Croix (1790-179~). Le Port d'Au-
dierne. La Défense des côtes. La Pêche à la
sardine, par M. l'abbé J.-M. PILVEN ..............
Rennes et ses abords à l'époque gallo-romaine, par M.
le Dr C.-A. PICQUENARD ...........................
Un Mariage manqu.é par La Tour-d'Auvergne '? par
M. J. TRÉVÉDY. . . . . . . ........ . ..........
Notice sur le château de Kerjean (commune de SI_VOU­
guay), par M. C. CHAUSSEPIED ....................
Relation de la fouille du tumulus du Mouden-Braz, en
Pleudaniel (Côtes-du-Nord), par MM. A. MARTIN, et
l'abbé PRIGENT. (planche) ...... ....... " ........ "
La Tour d'Auvergne-Corret et la maison de Coigny, par
Pages

109
118
124
146
M. J 10 rrRÉVÉDY. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 179

Eglises et chapelles du Finistère (suite) ; 7

article, voir
tomes XXX à XXXII) : Doyennés de Plabennec (fin) et
Ploudalmézeau, par M. le chanoine PEyRON .......... .
Le chevalier Calloet de Lanidy (17~3-1782), par M. le

is B' 'A
DE .REMOND .P' RS . . -................. . .......

. -.; .'! ' . . ' . 4:l~h~.:L~:;Grand ~t)es ~·anciennes chroniques (878-888 ... ),

- . . . .. pa~M,; . )e D~C.-A. PICQU- ENARD .................

MémOIre ivédlt concernant La Tour d'Auvergne-Corret,

. ·par .... M. · J: TRÉVÉDY ..... . _ . .. ................

" Eiât di·' mes services", mémoire autobiographique
. ": . { dh navigateur y .-J. de; Kerguelen-Trémarec, publié
. ' - '. par M.H-.BoURDE ·DEl';A', ·RoGERIE. " ........ ' .....

199

213
220

, Note sur le groupe dit du Cavalier et de l'Anguipède, à
propos de l'exemplaire de Kerlot, près de Quimper, par
M. ALFRED ROUSSIN .............................. .
Le dolmen de Magoer-Huen (Ile de Groix), par M. L. LE

PONTOIS,. ................... . .... ,. ........ lOlO lOlO

Autour de Locamand (aneiennes limites de la paroisse,
monuments mégalithiques, fourches patibulaires), par
M. le Dr C.-A. PICQUENARD, .......................

La Roche gravée de Stang-Bilérit, découverte à l'île de
Groix (Morbihan), par MM. le commandant LE PONTOIS
etP. DU CHATELLIER (planche) .. ................... .
Restes de rétablissement gallo-romain de Kerillien, en
Plounéventer, par M. le Chanoine J .-M. ABGRALL .....
Enlèvement d'une jeune fille à la Pointe du Raz par les
Hollandais au commencement du XXIIc siècle, par

Pages
293
300
304
313
315

H. LE CARGUET.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321,

SOCIETE ARCHEOLOG

DU FI N .STt:RE

Hôte' de Ville

29107 QUfM