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Bulletin SAF 1907


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Note sur les anciens chemins de la paroisse d’Elliant

M. le Vicomte de Villiers du Terrage

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Société Archéologique du Finistère - SAF 1907 tome 34 - Pages 73 à 79

DE LA PAHOISSE D ELLIANT

L'ancienne paroisse d'Elliant avec ses trêves, Rosporden,

Saint-y vi et Locmaria-an-hent, était comprise entre deux
voies importantes partant de Quimper et se dirigeant,
l'une au Nord-Ouest, vers Coray, l'autre au Sud-Ouest,

vers Quimperlé. ..'
La première, en raison de sa direction générale, a toujours

été considérée comme une anci.enne voie romaine, bien qu'il .
ne s'y rencontre aucune trace de la construction si typique
. de ces voies, telle que cedaines parties merveilleusement
conservées ont été montrées à !lieux, près dA Redon, en 1-902,
aux membres de l'Association bretonne. Elle laissait à deux
kilomètres sur sa droite l'établissement romain de 'Tré-anna,
qui fut certainement très important.
La seconde, dite voie des Sept- Saints, a été complètement
étudiée par plusieurs auteurs. Je me bornerai à signaler la .
croix de pierre située à la rencontre du chemin qui va du

manoir du Toulgoat au bourg trévial de Saint-Yvi. Un
écusson sculpté sur le piédestal portA trois têtes de sanglier,
armes des Salon qui ont été longtemps seigneurs du

Toulgoat. Cette voie passait près de la chapelle de Coat-.an-

poudou, et atteignait la Trinité, en suivant un chemin qui

conduisait directement les pélerins d'une chapelle à-l'autre.
Quand le pèlerinage des Sept-Saints cessa d'être fréquenté,ce,
chemin fut délaissé au profit de celui qui passe à Melgven,

P DE COAT-EL LI

. " ,' ·.I , I I ,! '

7'ro /.?

COUPE SUIVANT AB

MOTTE DE COATHELOHET
COUPE

HESTAUREE

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Ollesl

ruais il existe toujo.urs, bien qu'en partie envahi par les

ri vera ms.

Entre Jes deux vo.ies Pl'incipales, do.nt je viens de parler,
il en existe une tro.isième, qui traverse dans to.ute sa laegeur

la paro.isse d'Elliant. .
Partant de Quimper, elle passe so.us Ergué-Gabéric et
entee d'ans la paro.isse d'Elliant pl~ès Bo.tpo.dern (Bot patern) ,
qui était une seigneurie avec dro.it de haute, basse et
mo.yenne justice, ayant en plus le dro.it de percevo.ir un
péage sur les animaux et marchanùises . deto.utes so.rtes
passant sur cette ro.ute (A veu de 1580). Ce dro.it do.it avo.ir
disparu depuis lo.ngtemps, mais la ro.ute est enco.re suivie
par les piéto.ns allant d'Elliant à Quimper. .
Après avo.ietraversé le Jet, près de la chapelle Saint-Ro.ch,
(maintenant Itroun- Varia-gwir-Silcour), elle mo.nte direc­
tement à Elliant, qui n'est enco.re aujo.urd'hui qu'un simple
village, et n'a jamais dû être fo.rtifié. C'était cependant
une grande .et très ancienne paro.isse, impo.rtante co.mme
chef-lieu ecclésiastique de la régio.n.

Par co.ntre, à 1300 mètres au No.rd-Ouest dubo.ur.g, il

. existait une ancienne fo.rtificatio.n très co.nsidérable qui,
située sur la crête d'un co.teau bo.isé do.nt les p0ntes escarpées
descendent jusqu'au Jet, do.minait à des distances presque
égales Elliant et Tréanna.

Cette fo.rtificatio.n avait une fo.rine carrée, mesurant 45

mètres enviro.n à-l'intérieur (1). L'enceinte était fo.rmée d'un
massif de maço.nnerie brute,en mo.ëllo.ns de petite di men­
sio.n gro.ssièrement taillés; les revêtements étaient 'presque
parto.ut ébo.ulés; leur hauteur était de 4 mètres. Aux
quatre angles, il existait des to.ues rondes . ayant 3 mètres

(1) Ces dimensions ne sont qu'approximatives, car elle's ne pouvaient
être prises que dans le fouillis d'un bois taillis très épais. .

de diamètre inté'rieur. Url fossé profond de 2 m'ètres' régnait
sur les côtés Nord et Ouest seulement, car, sur les côtés Est

et Sud, la pente naturelle et 'très forte du terrain le rendait
innÏïle. Une brèche au milieu du côté Nord indiquait la seule

entrée du fort, qui était protégée par un autre massif, pres-

qu'aussi élevé que celui de l'enceinte, ayant la fo~me d'un
arc de cercle, dont la corde était de 18 mètres. On entrait

dans cet ouvrage avancé par une étroite ouverture pratiquée
sur le côté Ouest .

Toutes ces constructions, couvertes d'un é,pais taillis,

étaient très déformées,et malgré toutes mes, recherches,je n'ai
pu y trouver de traces de mortier ou de fragments de poterie,
briques ou tuiles. A l'intérieur, et près de l'angle Sud-Ouest,

j'ai reconnu l'ouverture d'un puits en très mauvais état, qui
aurait fourni des renseignements utiles, s'il avait Gté possible

. de le vider, mais j'ai reculé devant cette opération, qui eut
été, très dangereuse ..
Le propriétaire actuel a abandonné le bois d' E lltant aux
défricheurs et les vieilles constructions aux carriers, qui les
avaient complètement bouleversées, quand j'y allai pour la
troisième fois.
A 600 mètres au-delà d'Elliant, on voit, sur le côté Sud du
chemin, un fût de colonne légèrement conique de pu 50 de
hauteur~ qui ne porte aucune inscl'iption, mais seulement

une croix tracée à la pointe, La surface supérieure est percée
d'un trou destiné probablement à recevoir ·la base d'une

croix. 'Cette supposition se justifierait par le voisinage d'u n

champ qui porte le nom dit Parc-an-Olivet, nom qui, d'après
M. l'abbé Favé, évoquerait l'idée d'un cimetière. C'est en

effet dans ce champ, qlle, d'après une lradition locale, repo-

seraient les'restes des victimes d la peste. Quelques auteurs

y ont vu, à tort suivant moi, une borne milliail'e romaine.
Près de Keranbriquen, la voie ~e dévie pour contourner
le coteau de Saint-Guénaël, mais j'ai constaté dans un e

lande voisine les traces d'une voie empierrée, qui se dirigeait
en ligne droite vers la chapelle, traversant les restes d'un& .
enceinte circulaire en terre, probablement antérieure, établie
sur la pente du coteau et très ruinée: on peut, néanmoins,
lui assigner un diamètre de 35 à 40 mètres. A sa partie la
plus élevée, elle se rattachait à une tour, ou motte, èn terre
beaucoup plus saillante et entourée de fossés, qui avaient
encore sur quelques points 2 mètres de profondeur.
Cette tour est placée à la crête du plateau, en . un

point portant la cote 156 sur la carte de l'Etat-Major.
Maintenant, chemin, enceinte et tour. ont disparu par suite
de défrichements.
La voie rencontre, à la CI'oix mutilée de Sainl-Guénaël,
le chemin des Poissonniers, puis, après avoir traversé un
vallon aux bords escarpés, arrive à Locundu (Locquenguff),

où, dans la chapelle de Sainte-Candide (Guenguff), se
tl'Ouve la statue très vénérée de la sainte patronne de
Scaër (1). Puis elle franchit l'Aven non loin d'un autre
Locundu, dont la chapelle a depuis longtemps disparu,
et rejoint, plus loin, la route actuelle de Rosporden à
Scaër.
Entre la chapelle de Sainte-Candide et l'Aven on voit, à
peu de distance sur la droite et à 80 mètres au Nord du
village de Goël-ar-C'hoat (2), une motte très bien conservée,
grâce au bois taillis qui la r~couvre. Elle fut, au Moyen-Age,
le siège de la seigneurie de Coetheloret, qui exerçait le

droit de haute, basse et moyenne justice sur presque toute
la paroisse de Tourc'h. Destinée à défendre le passage de
l'Aven contre des ennemis venant de l'Est, elle n'a pas été

placée à la crête du plateau, mais sur un point à mi-hauteur
de la pente, point très bien choisi, qui permettait de
voir le fonds de la vallée et le point où pouvait se faire le
(t) Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. XX, p. 363.
(2) B. S. A. F., t. XX, p. 361.

de cliamè'tre inté'rieur. Url fossé profond de 2 m'ètres régnait
sur les côtés Nord et Ouest seulement, car, sur les côtés Est
et Sud, la pente naturelle et 'très forte du terrain le rendait
in, niile. Une brèche au milieu du côté Nord indiquait la seule
entrée du fort, qui était protégée par un autre massif, pres-

qu'aussi élevé que celui de l'enceinte, ayant la forme d'un

arc de cercle, dont la corde était de 18 mètres. On entrait

dans cet ouvrage avancé par une étroite ouverture pratiquée

sur le côté Ouest.

Toutes ces constructions, couvertes d'un é,pais taillis,

étaient très déformées,et malgré toutes mes, recherches,je n'ai
pu y trouver de traces de mortier ou de fragments de poterie,
b~iques ou tuiles. A l'intérieur, et près de l'angle Sud-Ouest,
j'ai reconnu l'ouverture d'un puits en très mauvais état, qui
aurait fourni des renseignements utiles, s'il avait qté possible

, de le vider, mais j'ai reculé devant cette opération, qui eut
été , très dangereuse. _
Le pl'opriétaire actuel a abandonné le bois d' Elliant aux
défricheurs et les vieilles constructions aux carriel's, qui les
avaient complètement bouleversées, quand j'y allai pour la
troisième fois.
A 600 mètres au-delà d'Elliant, on voit, sur le côté Sud du
chemin, un fùt de colonne légèrement conique de pn 50 de
hauteur: qui ne porte aucune inscl'iption, mais seulement

une croix tracée à la pointe. La surface supérieure est percée
d'un trou destiné probablement à recevoir la hase d'une

croix. Cette supposition se justifierait par le voisinage d'un

champ qui porte le nom dit Pdrc-an-Olivet, nom qui, d'apl'ès
M. l'abbé Favé, évoquerait. l'idée d'un cimetière. C'est en

effet dans ce champ, ql1e, d'après une tradition locale, repo-

seraient les' restes des victimes de la peste. Quelques auteurs
y ont vu, à tort suivant mOl, une borne milliaire romaine.
Près de Keranbriquen, la voie se dévie pour contourner
le coteau de Saint-Guénaël, mais j'ai constaté dans une

lande voisine les traces d'une voie empierrée, qui se dirigeait
en ligne droite vers la chapelle, traversant les restes d'une;,
enceinte circulaire en terre, probablement antérieure, établie
sur la pente du coteau et très ruinée: on peut: néanmoins,
lui assigner un diamètre de 35 à 40 mètres. A sa partie la
plus élevée, elle se rattachait à une tour, ou motte, en terre
beauCoup plus saillante et entourée de fossés, qui avaient
encore sur quelques points 2 mètres de profondeur.
Cette tour est placée à la crête du plateau, en un

point portant la cote 156 sur la carte de l'Etat-Major.
Maintenant, chemin, enceinte et tour ont disparu par suite
de défrichements.
La voie rencontre, à la croix mutilée de Sainl-Guénaël,
le chemin des Poissonniers, puis, après avoir traversé un
vallon aux bords escarpés, arrive à Locundu (Locquenguff):

où, dans la chapelle de Sainte-Candide (Guenguff), se
trouve la statue très vénérée de la sainte patronne de
Scaër (1). Puis elle franchit l'Aven non loin d'un autre
Locundu, dont la chapelle a depuis longtemps disparu,
et rejoint, plus loin, la route actuelle de Rosporden à
Scaër.
Entre la chapelle de Sainte-Candide et l'Aven on voit, à
peu de distance sur la droite et à 80 mètres au Nord du
village de Goël-ar-C'hoat (2), une motte très bien conservée,
grâce au bois taillis qui la r~couvre. Elle fut, au Moyen-Age,
le siège de la seigneurie de Coetheloret, qui exerçait le

droit de haute, basse et moyenne justice sur presque toute
la paroisse de Tourc'h. Destinée à défendre le passage de
l'Aven contre des ennemis venant de l'Est, elle n'a pas été
placée à la crête du plateau, mais sur un point à mi-hauteur
de la pente, point très bien choisi, qui permettait de
voir le fonds de la vallée et le point où pouvait se faire le
(i) Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. XX, p. 363.
(2) B. S. A . .F., t. XX, p. 36L

passage de la rivière. Cette situation a nécessité des dispo­ sitions de détail toutes particulières, bien que rensemble se
compose, comme toujours, d'une eneeinte circulaire d'environ
45 mètres de diamètre dominée par une motte. Ainsi, l'en­ ceinte, qui au point saillant s'appuie sur un remblai, se
trouve bientôt en déblai sur les flancs latéraux, et la motte
elle-même, malgré l'élévation du massif par lequel elle
domine l'enceinte, doit se protéger par un fossé dn côté
opposé, car elle est elle-r:nême dominée à petite distanco en .
raison de la pente du coteau (1). .
. La paroisse d'Elliant est également traversée par une
ancienne route se dirigeant de Concarneau vers Carhaix,
qui est encore connue sur plusieurs points de son parcours
sous le nom de Chemin des Poissonniers.
Se séparant à Coat-Conq de la route actuelle de Concarneau

à Rosporden, elle se dirigeait par Locmaria-an-Hent sur
Coat-Culoden, descendait dans un vallon affiuent du Jet, le
traversait obliquement, coupait la route de Rosporden à
Quimper, à l'Ouest de Dioulan, en un lieu dit Langroas, où

existait encore au XVIIIe siècle la chapelle de la Croix.
L'emplacement qu'elle occupait a été aliéné seulement · au

XIXe siècle, mais on y voit encore couché dans un champ un
menhir ou lec'h, sur lequel est gravé une croix (2).
A partir de c~ dernier point, et sur plusieurs kilomètres
le Chemin des Poissonniers sert le limite orientale au terri­
toire de la commune d'Elliant. Auprès du village de Keran­
briquen ellè fait à la traversée d'un vallon un coude brusque
vers la droitè, laissant à quelques mètres sur la gauche un
tumulus fouillé en 1898 (3). Se dirigeant alors v~rs le Nord,
elle laisse à 40 mètres sur sa droite, près de Penfoënnec-

(i) J'ai appris trop tard, cette année, que le taillis avait été coupé, cc
qui m'aurait permis de faire un relevé exact de ce monument, dont je
ne puis donner qu'un simple croquis.
(2) B. S. A. F. t. XX, p. 02.
(3) B. S. A. F., t. XXV, 422.

HucIlaf, le monument ~égalithique fouillé en (1) 1903, croise
près de Saint-Guenaël (2), le chemin de Quimper à Scaër. La
traditio n rapporte que, au moment de la fête du Saint, les
marins de Concarneau, avant de désarmer leurs bateaux, y
venaient en pèlerinage, le 3 novembre. La chapelle de Saint­
G~enaël, prohibitive aux seigneurs de I>:minihy, avait une
flèche assez élevée pour être, dit-on, visible au large cles
. Glénans.
Le chemin des Poissonniers, continuant vers le Nord
rejoint le chemin vicinal d'Elliant à Coray, et, sans monter
jusqu'à l'église du bourg se raccorde avec la route de Coray à
Roudouallec . J'ai examiné, sans m· 'y arrêter, une variante
de cette dernière partie du tracé, qui à partir de Bois-

J affray , aurait passé par Tourc'h et Quillien .

J'ajouterai en terminant, que, dans la partie Sud-Est du
canton de Rosporden, où j'ai fait un certain nombre de
fouilles, je n'ai trouvé, et il ne m'a été signalé, aucun objet

remontant à l'époque romaine.

VILLIERS DU TERHAGE .

Décembre 1906.

(i) B. S. A. F., t. XXXII, 273.
(2) B. S. A. F., t. XX, 369.

- 342-

DEUXIE E PARTIE

Table des mémoires et documents publiés en 1907

'" , cIO' , , . _

L'impôt du Vingtième à Audierne en 17~H par M. LE
CARGUET .................................... ....

Notes sur les anciens chemins de la paroisse d'Elliant,
par M. le Vie DE VILLIERS DU TERRAGE ............. .
Le Roman de La Tour-d'Auvergne, par ·M. J. TRÉVÉDY ..
Le District de Pont-Croix (1790-179~). Le Port d'Au-
dierne. La Défense des côtes. La Pêche à la
sardine, par M. l'abbé J.-M. PILVEN ..............
Rennes et ses abords à l'époque gallo-romaine, par M.
le Dr C.-A. PICQUENARD ...........................
Un Mariage manqu.é par La Tour-d'Auvergne '? par
M. J. TRÉVÉDY. . . . . . . ........ . ..........
Notice sur le château de Kerjean (commune de SI_VOU­
guay), par M. C. CHAUSSEPIED ....................
Relation de la fouille du tumulus du Mouden-Braz, en
Pleudaniel (Côtes-du-Nord), par MM. A. MARTIN, et
l'abbé PRIGENT. (planche) ...... ....... " ........ "
La Tour d'Auvergne-Corret et la maison de Coigny, par
Pages

109
118
124
146
M. J 10 rrRÉVÉDY. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 179

Eglises et chapelles du Finistère (suite) ; 7

article, voir
tomes XXX à XXXII) : Doyennés de Plabennec (fin) et
Ploudalmézeau, par M. le chanoine PEyRON .......... .
Le chevalier Calloet de Lanidy (17~3-1782), par M. le

is B' 'A
DE .REMOND .P' RS . . -................. . .......

. -.; .'! ' . . ' . 4:l~h~.:L~:;Grand ~t)es ~·anciennes chroniques (878-888 ... ),

- . . . .. pa~M,; . )e D~C.-A. PICQU- ENARD .................

MémOIre ivédlt concernant La Tour d'Auvergne-Corret,

. ·par .... M. · J: TRÉVÉDY ..... . _ . .. ................

" Eiât di·' mes services", mémoire autobiographique
. ": . { dh navigateur y .-J. de; Kerguelen-Trémarec, publié
. ' - '. par M.H-.BoURDE ·DEl';A', ·RoGERIE. " ........ ' .....

199

213
220

, Note sur le groupe dit du Cavalier et de l'Anguipède, à
propos de l'exemplaire de Kerlot, près de Quimper, par
M. ALFRED ROUSSIN .............................. .
Le dolmen de Magoer-Huen (Ile de Groix), par M. L. LE

PONTOIS,. ................... . .... ,. ........ lOlO lOlO

Autour de Locamand (aneiennes limites de la paroisse,
monuments mégalithiques, fourches patibulaires), par
M. le Dr C.-A. PICQUENARD, .......................

La Roche gravée de Stang-Bilérit, découverte à l'île de
Groix (Morbihan), par MM. le commandant LE PONTOIS
etP. DU CHATELLIER (planche) .. ................... .
Restes de rétablissement gallo-romain de Kerillien, en
Plounéventer, par M. le Chanoine J .-M. ABGRALL .....
Enlèvement d'une jeune fille à la Pointe du Raz par les
Hollandais au commencement du XXIIc siècle, par

Pages
293
300
304
313
315

H. LE CARGUET.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321,

SOCIETE ARCHEOLOG

DU FI N .STt:RE

Hôte' de Ville

29107 QUfM