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Société Archéologique du Finistère - SAF 1906 tome 33 - Pages 73 à 77
POUR MALEFICES
dans le Cap-Sizu.n .
Dans le Cap-Sizun, les défl'ichements des landes, les
labolll'S pl'ofonds, la réfection des maisons mettent, souvent,
à décollvel't, des poteries . Ce sont des vases de différentes,
formes, des jarres, Kote/'. Poud-K/'aon, . des pichets
avec O ll sans anses, des écuelles, de couleur jaunàtl'e, rou-
geâtre, le plus sOLlvent grise i ces dernièl'es sont d'une pMe
méla,igée de grains dOe sable et de plus petites dimensions.
On trouve des tessons des mêmes potel'ies dans les anciens
FOll, - réduits ou fosses où -l'on jetait tous les déhris . des
ménages, et dans les sols des masures en l'uine~, Len'/'
des Co-tiès. Les vases ainsi découvel'ts sont semblables à
ceux qui servaient aux usages domestiques.
Les vases, enfouis dans la tel'l'e même, n'étaient pas
protégés contl'e le tassement du sol, par un enyeloppement
de pierloes, ou galgal. Ils étaient quelquefois l'ecouverts d'ulle
pierl'e plate, ou d'un autre pot renversé, pour empêchel'
l'infiltration et le mélange de la telTe avec le contenu des
vases.
Cei) vases ont sOI'vi, jusqu'à une époque
l'écente, aux incan\.ations eL aux maléfices.
relativement
. Les rites employés à l'enfouissement des V'lses magiques
ne sont plus du domaine commun des traditions. Ils existent
cependant dans ~ertaines familles, très-rares, qui en gal'-
dent jalousement le seCl'et, Ce sont des hél'itages légués
par les pères et qui doivent être transmis intacts aux descen·
dants; en parler seulement, ce serait amoindrir ces héritages,
Quant à met~re en pratique les rites occultes, on s'en gal'de
bien, cal' rien que de prononcer les pal'oles magiques, de
chercher à reconstituer les pratiques d 'incantations, on
s'expose, si les choses rituelles ne sont pas exactement dites
ou accomplies, à attil'er, sur soi-même, le maléfice. .
Ainsi, le secret à gardel' et à transmettre, la cl'ainte' des
maléfices sont les deux causes principales d'insuccès dans les
recherches de cetle partie du Folk-lore. Seuls, rembarras
des pel'sonnes intel'l'ogées, les rcg[lI'(ls inquiets qu'elles
jettent alltuul' d'elles, font sou pçonnel' les gens qui détien-
nent l'un de ces secrets. Mais la décollvel'le de potel'ies CII-
fouies l'éveille toujours,dan' s la foule,le souvenil' des ancien Iles
croyanées, telles que t.1'ésol's cachés ct gardés pal' des puis.,
sanees o:::cultes, mMait~ de sorcP-llel'ie, même immolations
d'enrants salis baptême. si les vases cÔnl.iennent des osse-
mellls quelconques,
III
Les illcanlalions pal' les vases étaient de deux sodes:
celles qui avaient pour but de jeter le maléfice SUI' les pl'!\'.
sonnes; celles qui devaiellt aLteindl'e les biens,
Les maléfices SUI' les personnes étaient désignés sous le
nom de /)/'ouk, (mal); SUI' les biens, nol (perte, dom-
mage),
lis sévissaient 't des
degl'és dilTércllt::;. ':tI' lcLél'is6s pal'
ces expres~lolls : .
Tolel'drouk, Lakacl 1001, - (jeter un mal meUre, atla·
cher tlne perte), indiquaient un maléfi :e quelconque, 11011
défini, fort ou faible,
Au contraire, Toler,an ,d' roltk, La.kad a'r c'hol, (jeter le
mal attacher la perte), signifiaient que les ma'ux les plus
terribles, que rien ne pourl'ait cOlljul'er, allaicnt sévir' et COli'
duil'c à u.ne mOl't accidentelle et subite,ou lente pal' uSllI'c,lcs
pel'sonnes ; à la 'destruction complète; les biens .
Quelquefois 1 incantation spécifiait le maléfice:
Toler an teuz en daoula. gad, . jetcr (un levain de) fusion
dans les yeux;
La, kad al' c'ham en enlloa, 71, _. mettre la boitel'ie à un alli-
mal
Les rites des incantations comprenaient des formules et
des objets simultanément. '
Les paroles devaient être prononcées ct répétées un nom
bre impair de fois , ncuf habituellement, et cela sans repren
dre son haleine, Si la respiration se faisait avant la fi[l de là
formule, le maléfice partiel, élaboré jusqu'à .:ette partie, tom·
bait sur celui qui avait prononcé les pal'oles incomplètement.
Les quelques mots que nous avons entendus de ces formules
ne présentaient aucun sens, mais semblaient provenir de
longues tirades, impossible à l'éciter d'une seulc haleine,
L'incantation était le résultat de l'association des paroles à
des objets employés de cel'taines façons, et dans u" ordr'e
déterminé,
Les objets d'ine,antalions, déposés dans les vases que l'on
enfouissait sous tel're, étaient pris parmi les plantes ou
parmi les êtres vivants,
Lr.s plantes qui servaie'nt aux incantations étaient: la fleur
de genêt, celle du sO'uci ; des graines diverses, des grains de
blé, en nombre impaÎl' ; lagra.ine de fougère, ou htt-7'aden
(srite de la Terre-Sa. inte, en Cléden, ou pays des Ko' rked) ;
les bèllles', ou glumelles d'a- voine :,les feuilles sèches, princI
palement de 'chenc, cet arbre ayant encol'e aujourd'hui la
l'épntèltion d'attire'/' La, IOltd'/'c,
La verveine, au contl.'aire, servait et sel't encore très fl'tl-
quemmefi.t dans le Ciip-Sizün, à prése\'vel' du mauvais œil,
et à i\udiel'ne, à conjurer' la :mau\'ai~e 'pêche: .. , ,
Dans les étr'es vivants, on pren, ait, principalement, le cœur
elle foié des grands animaux , Dans les reptiles et les oiseaux,
la partie ['çputée nocive: le dard de la vipèl'e,l'œilgaucho du
c1'apand et du corbean" la tête et la queue du lézard, (l'ile de
Goulien), Quelquefois c'était l'animal entier, lalJO'lde noi1'e,
lachOltette Jam'ais le chat, ni le bouc, qui élaien~ la pel'son
nification du diable invoqué pour exercer le maléfice,
Les os, les dent,s, les cheveux des mo'/'ts, ,cueillis, la nuit,
dans les cimetières, les cadavl'e's d'enfants mort-nés devaient
aussi servir aux incanlations, Un arrêté du Parlement de
Bretagne du 14 décembre 1715 interdit l'usage d'entener
dans des lieux profanes et indécents les enfants morts sans
Baptême,
_ Le Malleus ma.leficarum (L) de Sprenger, qui a guidé le p,
Maunoir dans 'la découvel'le des Iniquités de la ,Montagne.
c'est-à-dil'e ,des usages du sabbat, et des Potrcd a'l' Sa, bbat,
indique 4u'elle était fréquente la pl'al ique d'employer aux
maléfices, le cœur ou les membl'es, l'éduits en ce'ndres,d'en
_ fanis tués sans avoil' reçu le baptême (2), C'étaient ol'dinai-
rement les enfanls à qui manquait le lail de leur mère qui
, ,étaient ainsi sacrifiés, et les matrones étaient" pal' leul' pl'O-
fession, qualifiées pour les pl'OcUI'er, i\ ussi était-il d'usage,
avant d'admettre une sage-femme à exercel', de s'informel'
si elle ne faisait rien de sttperst.itiwx, , . -
Bien que les geng du sabbat lussen't nornbl'euxct puissants
dans l, e Cap-Sizun, cc qui esl aflirmé dans la vie'du' p, Mun-
dl Vic du l', Maunoil' pal' le p, Si'jOIIl'ni :, T, l", p, H2-~g5-a(ji,
, (2) Spl'cngel' : in .\lo/leo, pal'L3, quesL. Hell5, ,
noir (1), nous ne voulons point nous arrêter à l'idée que des
meurtres rituels magiques s'y soient èomrriis. Mais cette
légende du Cap est à ciler :
a Une femme avait tué sept de sès enfants, sans leur don
ner le baptême,Après sa mort elle ap'paraissait,sous la forme
d'une laie poursuivie par sept marcassins, grognant, hurlant
et la déchirant de leurs dents quand ils pouvaient l'atteindre.
C'étaient'les sept enfants qui se vengeaient de leur mère
pour n '1I.voir pas reçu l~ baptême. Partout Olt avait passé
l'apparition, l'herbe était bt,ûlée." '
Les' vases renfermant les objets d'incantations, étaient,
après l'accomplissement de tous les riles magiques, déposés
(1) l';xtraits de la Vie du p, Mau noir, par le p, Séjourné. ,
Tome l. p. m. -« Le mal (de sorcellerie) avait envahi nOri pa.s une
contrée, mais une grande partie de la province de Bretagne. Le sabbat
etait -.Je rendez·vous non pas d'un petit nombre, mais d'une multitude
con~idérable. On y voyait des gens de tout rang et de toute condition:
des hommes, des remmes, des jeunes filles et des enfants que leurs
parents avaient ~'oués au démon dés leur naissance, quelquerois mème
avant. Le gentilhomme y heurtait le pâtre de la campagne ; la femme
de la' plus basse condition, la dame dé haut parage, .. » '
Tom~.I. p. 286. -" Ces faits, le P. Maunoir n'a consenti a les transmettre ,
dans ses écrits qu'en 1672, c'est·a-dire après une expérience personnelle
de vin'gt·deux ans. Son témoignage se trou ,'e corroboré par le témoignage
de trois cents prêtres ... parmi ' lesquels des Prélats, les évêques de
Cornouailles, de Léon, de Tréguier; des docteurs de Sorbonne, elc ... "
Le Cap·Sizun devait être un centre important de sorcellerie :,
Tome 1. p. 189 . ..:.. " fies personnages, (de marque), ' y avaient acquis,
« grâce a de Caux exorcismes empruntés a la magie, urie véritable habileté -
et prétendaient pouvoir guéril·toutes sortes de maladies. Leur crédit était
même devenu si considérable, que de, tous côtés on venait les consulter
comme des Oracles. Un /ivre entier, écrit le Vénérable p, Maunoir, ne
suffirait pas pour décrire les pllctes et les sortilèges inspirés por l'enfer li
ce peuple ignorant. " - (Mission de Cléden et de Plogolf, le 8 mai {6U).
Lors de la mission prêchée, aux mois de juin et juillet {ô56, aux pardons
de Saint·Tugen et de Saint.They, °au Cap-Sizun, par le P. Maunoir et
M. de Trémaria il est di t :
Tome 1. p. 366. - Les plus grands pécheurs venaient se jeter aux
pieds de 1\1. de Trémaria et lui con ressaient les crimes qu'i/s ,n'avaient
jamais osé dire à personne, 1\1, de Trémaria eu t même dès le principe une
grâce particulière pour découvrir les iniquités de la Montagne .. , Un aflilié
de la secte inrernale s'était livré corps et üme au démon° , avait renié
« Dieu, la foi, l'Église et cédé sa part de paradis, se convertit, etc .. . "
èous.teI:re, là surtout où devaient passer les personnes, où
se trouvaient les choses visées par le maléfice.
Ainsi, pOlIr les maléfi~es des personnes, on enfouissait les
· vases dans le sol de la maison, sous le lit, sous le seuil de
la porte, dans le puits .
. POUl' les animaux, on les plaçait sous le seuil de l'étable,
dans le puits, les pâturages et surtout les landes.
. ' Pour les l'écoltes à l'entl'éc des champs cultivés.
Quand la personne visée pa de ~aléfice passait par-dessus
ces vases, le maléfice opérait :' sa santé était compromise,
ou ses biens atteints.
Les animaux, piétinant la terre au-dessus de ces vases,
étaient aussi maléficiés.
·Outre la ligat1.we de verveine qui est la panacée dE: tous
chal'mes magiques, nous n'avons trouvé que ces deux usages
pour préserver des maléfices. les ' bêtes et les récoltes
Lorsqu'tin étranger franchit le' s,euit de l'écurie dans
laquelle \'i~nt de naître un poulain, il doit murmurer: rr Sant
ri Alar! » sous peine de jeter un sort à l'animaL
- u Avant de commencer à labourel' un champ, le maître
à gmlOux et tête nue et les tt'availleursde même disent, à
haule voix lIne prière: pater, aile et de p '/'olondis, poui'tous
ceux qui ont travàillé le champ ava.nt le,; hommes ici p/'ésents. ))
Les découvel'tes de vases magiques dans le Cap-Sizun,
sontnombreûses. Nous nous contcnterons de citer les prin-
~ipales :
A Audierne, celles de l~vréach et ~idreufT i
A Cléden, celles de Théolen, l}iolet, Bl'Ouzoulous, Lezan
quel;
A .Esqnibien,
GOI'réq IIC\' ;
celles. de Brignéoch. Lervily. I~boul, '
A Goulien, celles ùe Coste-Goalal'll, l~non et l{;vri. ll
A Plogoff, celles çle Perinéach, Liors·Culren et Laoual;
A Primelin, celles de Lorziès, etc.
La pt'i nci pa le distinction' entt'e lesdécou vertes préhisto
riques et les vases magiques, consiste en ceci: ces derniers
sont de facture récente, souvent en poteries faites au tour et·
jamais entou1'és de pierres PO/t)' les p' rotége1·.
Le contenu des vases magiques ne donne aucune indiûa
tion de rite, On y trouve des cendres, des chat'bons, des osse
ments quand le rite magique compot'tai t l'emploi du feu; une
terre noire, gl'asse ou desséchée, quand la cbait' des animaux
t'ituels a' été simplement déposée dans le vase, aprp.s l'in
calltation 'Jar les pat'oles.
Un feutrage de radicelles. het'bacées, à l'intérieur des vases,
est souvent une indication que ces vases n'ol1t pas été.
protégés par un galgal de pierres, et unept'ésomption que
l'on se trouve en présence .d'une découverte d'objet magique,
Si les radicelles ont conservé leur contexture, même sans·
traces dA végétation sctuelle, on peut conclure à un enfouis-
sement relativement récent du vase, '
L~ feutrage, plus ·ou moins serré, indique aussi que le
vase a contenu des mati~t'es propres à exciter une luxuriante
végétation: substances azotées, animales .
Commeparticulqrités, nous citerons les vases de I):idreuff
. qui contenaient des. feuilles de chêne; celui de I~iolet, des
ossements avec un couteau ; celui de Théolen, enfoui à 1 ID50
dans le . sous-sol d'une maison et contenant une matière
noit'âtre desséchée; . à l'analyse faite par un pharmacien
d'Audierne, cette matière a révélé des globules graisseux
pt'ovenant de (Jat'lies animales.
VII
Les nombreuses poteries magiques découvertes dans le
Cap-Sizun indiquent combien les pratiques de sot'cellet'ie y
étaient autrefois communes.
Les missions du p, Maunoir et de ses successeul's ont
fait dispa~aître ces.pratiques, Mais durant une longue suite .
d'années,des vasés enfouis ont été oubliés Les derniers enter
rés ont été abandonnés apl'ès l'action des 'missionnair~s, par
les sorciers convertis, qui se tl'ouvaient devant ces deux faits:
-« Enlever les vases enfouis, c'était reconnaître la puis
sance magique et retomber dans l'ancienne supel'stition, et
ils ne le voulaient plus; .
- « Ne pas les enlevel', c'était déclarer qu'ils avaient
cessé de croire au pou voÏl' magique des vases l), .
Il s'en suit que, fréquemment. ces poteries sont 'mises uu
jour, à lu grande déception des Capistes d'aujourd'hui
qui s'attendent à y trouver des tl'8Sors. Hélas, ces
trésors se changent toujours en eend l'es ou en feuilles sèches.
pat'ce que les Capistes sont pris au dépourvu . Cependant il
existe dans le Cap un procédé infaillible pour garder, aux t1'é·
sors cachés, leur forme réelle. Nous livrons ce pl'oeédé à nos
lecteurs, persuadé qu'ils en feront un excellent lisage.
Le voici: « Quand on ' pratique des fouilles, il faut
(( toujours avoir, sur soi un 'objet béni, ou autre chose
« qui ait été sur vous, à la 'grand'messe, le dimanchc des
« Hameaux . A ussitÔt qu'une poterie' est découverte, jeter
« dedans et sur son contenu l'objet béni, et le l'résor appa-
1 l'aîl1'u en beaux écus blanc d'argent, en louis d'or brillants,
« au lieu de cendres et de feuillp.s sèches n.
H. LE CAHGUE'!' ,
Audierne, 18/évl'iel' 1906
- 327
DEUXIÈ E PARTIE
Table des Mèmoi1'es et Docttments publiés en 1906
Pages
La Forêt sous-marine de LocLqdy, par M. Camille VAL-
IJAux(cal·le)........................................ 3
Excursion dans la commune de Plouézoch, par Louis
LE GUENNEC (4 gravures). . . . . . . . . ... . .. .. . . ... . . . . . 10
Les vases enfouis pùur maléfices dans le Cap-Sizun,
!)t-r' M. H. LE CARGUET .......... .................. 73
Huines et substructions gallo-romaines du Cavardy
et du Stanq, canton de Fouesnant, par M. le Dr
C.-A. PICQUENARD (2 planches).. . . . . . . . . . . . . . . . ... . . 78
Un beau geste des Volontaires du Finistère (épisode
de la prise de Furnes, 1793), pal' H. DE KERGUIF-
FJNAN":,, 11'UftIC ...... . ........ . ......... . ........ 91
Les Faucheurs de la mer en Léon (récolte du g·oëmon
au XVllle et au XIXe S.), par M. l'abbé A. FAVÉ .... 95
Trouvaille de hnches en bronze faite en Plouhinec en
1905, par M. P. DU CHA'l'ELLIER (planche hors texle).. . 146
Note SUl' le chàteau de Kergoet (eorrim une de Saint-
Hernin, canton de Carhaix), pal' M. J. TRÉVÉDY... 150
La vie municipnle il PonL-Croix (1790-1791), par M. J.-M.
PIL VEN. . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . .. ....... 157
Vestiges du vieux cluHeau. de Kel'gunus, en Trégunc
(canton de Concarneau), pltr M. le chanoine J.-M .
_ ABGl\AT..JL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . ................ . 181
L . 'O.cClJ.Pilltid!l' gallo-romaine dans le bassin de l'Odet,
. par M. Lè Dr C.-A. PICQUENARD (2 caries) .. .......... .
188
~ . Les arme: je jet il la bataille d'Hastings c1'après le texte
de Guillaume de Poitiers, par M. IL LE CAI:l.GUE1' ..
La fllmiJle> 'Lirql:!n du 'rimeur, par M. J. · TRÉVÉOY .... . .
218
222
Le chemin du Tro-Breiz, entre Saint-Pol-de-Léon et
Tréguier', par M. H. LE GUENNEC o 247
L'occupation romaine dans le bassin de l'Odet (sllite
et fin), par M. le Dr C.-A. PICQUENAHD ....... . . ... .